La liste des finalistes nommés aux International Opera Awards 2019 a été dévoilée. Plus d'une centaine de candidats (artistes, maisons, productions) du monde entier concourent dans 18 catégories différentes.

L’Opéra de Lyon programme De la maison des morts de Janáček dans une mise en scène coup de poing de Krzysztof Warlikowski dirigée par un Alejo Perez subtil et puissant.

Dans sa seconde distribution lyonnaise, Rodelinda de Haendel par Claus Guth et sous la direction de Stefano Montanari, garde sa fraîcheur et son élégance.

Pour les fêtes de fin d’année, l’Opéra de Lyon propose un spectacle audacieux avec Rodelinda de Haendel vu par le metteur en scène Claus Guth.

Avec L’Heure espagnole, premier opéra de Ravel, l’Opéra de Lyon plonge le spectateur dans un délicieux vaudeville, grâce aux riches inspirations de l’illustrateur Grégoire Pont, pour le grand plaisir des petits comme des plus grands :

À la tête de l’Orchestre et du Chœur de l’Opéra de Lyon, le jeune et fougueux chef Daniele Rustioni emporte l’enthousiasme avec le Nabucco de Verdi, aidé d’une excellente distribution vocale dominée par la soprano Anna Pirozzi, en version concert à l'Auditorium :

Souffrant, Leo Nucci est contraint d'annuler la série de concerts du Nabucco de Verdi, qui devait passer par Lyon ce soir, avant le Théâtre des Champs-Elysées et Vichy. Il est remplacé par Amartuvshin Enkhbat.

Pour son ouverture de saison lyrique, l’Opéra de Lyon frappe fort avec le saisissant Mefistofele d’Arrigo Boito dans une mise en scène terrifiante signée Àlex Ollé de La Fura Dels Baus :

Entre le lyrisme contenu de Ravel et l’éclat orchestral de Rimski-Korsakov, Daniele Rustioni et Véronique Gens livrent une lecture complémentaire de la légende de Shéhérazade.

En hommage à Gioacchino Rossini, Les Grands Concerts invitent l’Orchestre de l’Opéra de Lyon et son fougueux chef Daniele Rustioni à la Chapelle de la Trinité, dans un concert d’ouvertures et d’airs les plus brillants.

Après nos grandes rétrospectives, nous vous offrons un nouveau Tour de France, tourné cette fois vers l'avenir, récapitulant les programmations des opéras pour la saison 2018/2019 (un simple clic sur les titres vous mène vers chacun des nos articles détaillés) :

Comme attendu, David Marton propose une vision éminemment personnelle du chef-d’œuvre de Mozart, sans pour autant choquer outre mesure le public, ravi par un Leporello et une Anna très talentueux.

Le Maestro Evelino Pidó nous parle avec fierté et gratitude du Don Pasquale qu'il dirige à Garnier, au lendemain de la seconde représentation, avant d'offrir sa vision de l'art, du monde et de dévoiler ses grands projets :

L’Opéra de Lyon crée GerMANIA du compositeur russe Alexander Raskatov : une fresque historique, politique, universelle et parfois dérangeante, intelligemment mise en scène par John Fulljames et dirigée par Alejo Pérez.

L’Opéra de Lyon propose une nouvelle collaboration hors-les-murs, au Radiant-Bellevue de Caluire-et-Cuire, avec le chef d’œuvre d’Igor Stravinsky, L’Histoire du soldat, mise en scène par le saisissant Alex Ollé.

Macbeth de Verdi au pays des traders et du capitalisme impitoyable, telle est la vision imposée par Ivo van Hove.

Christophe Honoré propose à l’Opéra de Lyon une vision sombre du Don Carlos de Verdi que Stéphane Degout parvient à illuminer avec un superbe Rodrigue, Marquis de Posa.

L'Opéra de Lyon annonce sa saison 2018/2019, avec de nombreuses œuvres données pour la première fois dans la Cité des canuts, voire en création ou recréation française :

Le baryton Stéphane Degout a une actualité fourmillante, faite d’évolutions majeures de son répertoire et d’enregistrements multiples (dont Enfers paru chez Harmonia Mundi). Il passe en revue pour vous ses principaux événements à venir et détaille la philosophie qui prévaut dans ses choix.

L’Opéra de Lyon offre la création française du septième et dernier opéra d’Alexander von Zemlinsky, Le Cercle de craie, un drame mêlant le réalisme d’une misère sociale et l’utopie d’une Justice dévoilée et triomphante, soutenu par l’ingénieuse et atemporelle mise en scène de Richard Brunel.