L’Opéra national de Lyon propose à l'Auditorium le chef d’œuvre d'Umberto Giordano, "Andrea Chénier", en version de concert, mené par le directeur musical Daniele Rustioni.

L’Opéra national de Lyon ouvre sa saison de productions lyriques avec le tragique Wozzeck​ d'Alban Berg, dans une mise en scène signée du Directeur maison, Richard Brunel, et sous la baguette du directeur musical maison, Daniele Rustioni.

Après l'été passé au Festival d'Aix-en-Provence, l'Orchestre et les Chœurs de l'Opéra de Lyon ouvrent leur nouvelle saison sous la direction du maestro de la maison, Daniele Rustioni : un voyage musical aux riches nuances en une heure et demie.

L’Opéra national de Lyon présente une nouvelle production de « L’Affaire Makropoulos » de Leos Janacek, dans une vision hallucinée (mise en scène par le Directeur de la maison, Richard Brunel), où les passions exacerbées aboutissent au chaos, au néant, le tout efficacement incarné par des artistes totalement engagés.

La saison 2024/2025 de l’Opéra de Nancy aura pour thème la Transgression sous toutes ses formes : dans les histoires, dans les formats, dans la musique, dans les processus de création. Présentations avec le Directeur de l'institution :

L’Opéra de Lyon affiche le dernier opéra composé par Hector Berlioz, d’après « Beaucoup de bruit pour rien » de Shakespeare, dans une mise en scène radicale de Damiano Michieletto et sous la direction musicale de Johannes Debus.

Le traditionnel week-end portes ouvertes dans les maisons d'opéras à travers la France, "Tous à l'Opéra" est cette année parrainé par le danseur étoile Guillaume Diop, et en forme Olympique : l'important c'est d'y participer.

Le Triptyque de spectacles du Festival d'Opéra de Lyon se conclut avec une création mondiale, en co-production avec le GRAME (Générateur de ressources et d'activités musicales exploratoires), en co-réalisation et au Théâtre de la Croix-Rousse : “Otages”, un opéra de composé et écrit par Sebastian Rivas, d’après l’œuvre éponyme de Nina Bouraoui.

L’Opéra national de Lyon annonce une nouvelle saison mettant l’accent fort sur la modernité et le beau chant lyrique : dans son esprit d’innover pour tous.

Dans le cadre de son Festival Lyrique annuel, l’Opéra national de Lyon propose une production nouvelle signée Timofeï Kouliabine de "La Dame de Pique" de Tchaïkovski, avec une distribution qui électrise l’œuvre :

Dans le cadre de son Festival, l’Opéra de Lyon propose le trop rare opéra-western « La Fanciulla del West » de Puccini, dans une production émouvante signée Tatjana Gürbaca :

Carmen de Bizet est diffusée au cinéma partout en France en direct depuis le Metropolitan Opera House de New York dans une mise en scène signée Carrie Cracknell. Aigul Akhmetshina et Piotr Beczala ainsi que Kyle Ketelsen interprètent le trio tragic-amoureux sous la direction de Daniele Rustioni.

L’Opéra de Lyon reprend intégralement cette co-production des deux maisons de la rectiligne rhodanienne (avec Marseille), dans la mise en scène et les costumes de Laurent Pelly, les décors de Chantal Thomas, sa complice de toujours, et la distribution panachée des deux métropoles qui ont fait, voici cinq ans et ici-même, le succès de la création.

Le Théâtre du Capitole reprend la mise en scène de La Femme sans ombre de Strauss créée en 2006 par son ex-Directeur Nicolas Joel.

Pour terminer l’année (ou démarrer la prochaine), l’Opéra de Lyon propose une mise en scène d’Elias, un oratorio de Felix Mendelssohn créé en 1846 et basé sur le Livre des rois de l’Ancien testament, par Calixto Bieito, sous la baguette de Constantin Trinks.

Deux jours après Lyon, les forces de l’Opéra de la capitale des Gaules proposent au Théâtre des Champs-Elysées une version tellurique d’Adriana Lecouvreur de Francesco Cilea​ sous la baguette de Daniele Rustioni.

L’Auditorium de Lyon accueille en version de concert “Adriana Lecouvreur”, opéra de Francesco Cilea, porté par une riche distribution et sous la direction de Daniele Rustioni.

Le Théâtre de La Renaissance à Oullins dans la Métropole de Lyon annonce la nomination à sa direction d'Hugo Frison, ingénieur de formation, prenant la succession de Gérard Lecointe :

Pour servir sa première Femme sans ombre, l’Opéra de Lyon propose la vision moderne et esthétique de Mariusz Treliński et une distribution sans point faible, sous la conduite du directeur musical de la maison, Daniele Rustioni. Résultat : les vivats s’élèvent dès les entractes.

L’Opéra de Toulon déploie sa saison hors-les-murs pendant les travaux de son théâtre historique. Le Rigoletto de Verdi s'installe ainsi dans la salle du Zénith, dans une lecture chorégraphique signée Richard Brunel, sous la baguette de Valerio Galli :