Pour sa première sur les planches du Colón, où elle n’avait jamais été donnée en intégralité, l’œuvre d’Offenbach est mise en scène de façon originale et moderne mais offre parallèlement un bilan musical contrasté :

Un quart de siècle que la pièce maîtresse d’Héctor Panizza, qui glorifie la naissance de la nation argentine, n’avait pas été représentée sur les planches du Teatro Colón :

Réunissant pour l’occasion danseurs et chanteurs, Carmina Burana de Carl Orff ouvre avec éclat mais sobriété une saison 2024 placée sous la contrainte des restrictions budgétaires :

Jorge Telerman, Directeur Général du Teatro Colón, annonce enfin une saison lyrique 2024 qui questionne le(s) pouvoir(s), sur fond de crise économique majeure et de bouleversements politiques profonds en Argentine :

La représentation de ce chef d’œuvre de Puccini oscille entre les promesses d’une mise en scène suggestive et poétique, et des prestations musicales contrastées au niveau de l’orchestre et des chanteurs :

La reprise de cet opéra bouffe de Rossini au Teatro Colón place l’intrigue, où se distingue une pétillante distribution, dans un Gran Hotel Vesuvio largement inspiré des décors du film de Wes Anderson :

Dans une version semi-scénique privilégiant la musique de Verdi, Il Trovatore de Verdi retrouve après 23 ans d’absence au Teatro Colón les planches du Colisée argentin :

Le Teatro Colon à Buenos Aires reprend l’opéra de Stravinsky “The Rake's Progress”, sous la direction musicale de Charles Dutoit, dans une mise en scène d’Alfredo Arias, avec une distribution anglophone et argentine :

Le chef-d’œuvre belcantiste de Donizetti retrouve de sa superbe avec un plateau vocal séduisant après 53 ans d’absence sur la scène du Colón :

Le Teatro Colón de Buenos Aires accueille le metteur en scène Barrie Kosky et la compagnie 1927 qui revisitent La Flûte enchantée en projetant un spectaculaire film d’animation alors que les chanteurs interviennent sur scène en direct : mais est-ce encore l’œuvre de Mozart à laquelle le public assiste ?

À travers la direction musicale de Jan Latham-Koenig, une distribution internationale et la mise en scène de Stefano Poda, le chef d’œuvre de Gounod est l’objet de controverses pour sa reprise au Teatro Colón après 25 ans d’absence sur ses planches :

La saison lyrique 2023 du plus important opéra d’Amérique latine marque un tournant dans sa programmation avec de nombreux projets ouverts sur l’extérieur, la décentralisation, l’inclusion de spectacles qui, antérieurement, ne faisaient pas partie de sa programmation officielle :

Le Teatro Colón propose la reprise d’une mise en scène de feu Roberto Oswald de Tosca où Anna Netrebko et Yusif Eyvazov attirent les foules pour cette création scénique des années 1990 :

Après 109 ans d’absence sur la scène du Teatro Colón, Les Pêcheurs de perles de Bizet retrouve des couleurs inspirées des années 1970 à l’occasion de l’avant-dernier titre lyrique de la saison 2022 :

Marqué par la participation de Javier Camarena et Nadine Sierra, cet Elixir d’amour déplace l’intrigue de ce classique du bel canto dans les années 1950 :

La reprise de ce classique de Verdi dans la mise en scène de Stefano Poda est l’occasion d'un spectacle éblouissant dans les deux sens du terme, suscitant autant l’admiration qu’un effet d’aveuglement.

La saison lyrique 2022 du célèbre théâtre argentin s’ouvre sur ce classique de Puccini par la reprise de la mise en scène que Stefano Trespidi avait présentée in loco en 2018.

Le parallèle des calendriers et de la forme des manifestations est frappant entre Paris et Buenos Aires. Des membres des trois corps artistiques du Teatro Colón (musiciens, choristes et danseurs) et de ses deux orchestres permanents organisaient un concert de revendication salariale, entre autres protestations, sur les marches de l’entrée principale du fameux théâtre argentin.

Le 200e anniversaire de la naissance d’Offenbach est commémoré au Teatro Colón par la représentation des Contes d’Hoffmann qui vient clore la saison 2019 du célèbre théâtre de Buenos Aires.

Point de lyre, de couronne de laurier, de colonnades grecques : c’est une version moderne et audacieuse d’Orphée & Eurydice de Gluck, minimaliste et épurée, que propose le chorégraphe et metteur en scène Carlos Trunsky sur la scène du Teatro Colón de Buenos Aires.