L’Opéra de Tours présente un plus rare mais néanmoins captivant opéra de Verdi, “Luisa Miller”, mis en scène par Frédéric Roels : une occasion unique pour le public d’applaudir cette production et de soutenir les revendications des musiciens locaux.

Le Triptyque de spectacles du Festival d'Opéra de Lyon se conclut avec une création mondiale, en co-production avec le GRAME (Générateur de ressources et d'activités musicales exploratoires), en co-réalisation et au Théâtre de la Croix-Rousse : “Otages”, un opéra de composé et écrit par Sebastian Rivas, d’après l’œuvre éponyme de Nina Bouraoui.

L’Opéra national de Lyon annonce une nouvelle saison mettant l’accent fort sur la modernité et le beau chant lyrique : dans son esprit d’innover pour tous.

L’Opéra de Tours présente à son tour -après l’Opéra Grand Avignon- le diptyque ravélien réunissant les deux seuls opéras du compositeur : L’Heure Espagnole & L’Enfant et les Sortilèges dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda et sous la baguette de Robert Tuohy.

L’Opéra Grand Avignon présente au Théâtre L’Autre Scène (à Vedène) « Carmen Intime », opéra de chambre à quatre voix et un violoncelle (d’après l’œuvre de Bizet).

L’Opéra de Saint-Étienne poursuit sa ré-exploration du répertoire français en proposant une nouvelle production des Pêcheurs de perles donnant bien moins dans l’exotisme que dans un symbolisme nourri par le contraste et le mystérieux.

L’Opéra Grand Avignon réunit en diptyque les deux opéras de Ravel : L’Heure espagnole & L’Enfant et les Sortilèges, mis en scène par Jean-Louis Grinda. Deux visions, défendues par une distribution affirmée, soulignent subtilement la minutie du compositeur, héritée de l’horlogerie.

L’Opéra de Toulon déploie sa saison hors-les-murs pendant les travaux de son théâtre historique. Le Rigoletto de Verdi s'installe ainsi dans la salle du Zénith, dans une lecture chorégraphique signée Richard Brunel, sous la baguette de Valerio Galli :

L’Opéra Comique ouvre sa saison avec La Fille de Madame Angot, ouvrage rare dirigé par un sage Hervé Niquet et plongé dans la révolution de mai 68 par le metteur en scène Richard Brunel :

L’Opéra Royal de Wallonie-Liège ouvre sa saison 2023-2024 avec “Idoménée, roi de Crète” de Mozart. Les artistes et la mise en scène de Jean-Louis Grinda traduisent en diverses vagues sonores et visuelles cette confrontation entre la toute-puissance de l’amour et la toute-puissance des divinités :

L’unique date d’opéra (in extenso) de cette année aux Chorégies d’Orange permet de réentendre Marie-Nicole Lemieux et Jean-François Borras dans les rôles principaux.

L’Opéra national du Capitole présente le Mefistofele d’Arrigo Boito dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda (venue de Monaco et Orange). L’Orchestre maison dirigé par Francesco Angelico accompagne Nicolas Courjal, Jean-François Borras, Chiara Isotton, Béatrice Uria-Monzon, Marie-Ange Todorovitch et Andrés Sulbarán :

La nouvelle Directrice de l’Opéra monégasque, Cecilia Bartoli reprend la mise en scène de La Traviata (Verdi) signée par son prédécesseur Jean-Louis Grinda (assisté par Vanessa d'Ayral de Sérignac) et incarnée par Aida Garifullina :

L’Opéra Grand Avignon reprend l’opéra bouffe Il turco in Italia (1814) de Rossini dans la mise en scène de Jean-Louis Grinda, sous la baguette du chef brésilien Miguel Campos Neto :

L’incontournable Carmen de Bizet revient à l’Opéra de Marseille avec une deuxième distribution, dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda, apportant un éclairage subtil :

L’Opéra de Marseille accueille la mise en scène par Jean-Louis Grinda du chef d’œuvre de Bizet, dix ans après la dernière production, en attendant sa reprise aux Chorégies d’Orange cet été.

La star lyrique française Roberto Alagna incarne le rôle-titre dans la nouvelle création de Jean-Félix Lalanne, la comédie musicale "Al Capone" aux Folies Bergère, avec Bruno Pelletier et Anggun, dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda et une production de Jean-Marc Dumontet​ :

Anna Netrebko est acclamée à l'Opéra de Paris aux côtés de collègues également très applaudis dans la reprise de La Force du destin (Verdi) mise en scène par Jean-Claude Auvray et dirigée par Jader Bignamini :

Alors que Noël approche à grands pas et que la période des fêtes sonne l'appel de beaux moments en famille, La Monnaie de Bruxelles donne en création mondiale l'ultime opéra de feu Philippe Boesmans (1936-2022) : "On purge bébé" d'après Feydeau, opus empreint d'une certaine nostalgie et empli d'une audace bien particulière pour des adieux espiègles.

La Force du destin de Verdi est reprise à l’Opéra de Paris dans la mise en scène sobre et parlante de Jean-Claude Auvray, servie par un casting porté par Ludovic Tézier et Anna Pirozzi :