L’opéra de Puccini est donné à Marseille en commémoration du centenaire de la mort du compositeur. Paolo Arrivabeni, à la tête de la phalange phocéenne, met son métier au service de la conception scénique sobrement poétique d’Emmanuelle Bastet et d’un plateau surmonté par Alexandra Marcellier dans le rôle-titre.

L’ouverture de la saison lyrique de l’Opéra de Marseille convoque la figure puissante de Norma (Bellini) version mezzo, en Karine Deshayes, accompagnée par l’enthousiasme palpitant de Michele Spotti, directeur musical maison, pour une ode à la Lumière.

Cette production d'Un Ballo in maschera (opéra composé par Verdi) signée Waut Koeken brille tant par sa mise en scène subtile et élaborée que par son plateau vocal.

Le Nozze di Figaro (de Mozart et da Ponte d’après Beaumarchais) sont reprises à l’Opéra de Marseille dans la mise en scène moderne pétrie de références historiques signée Vincent Boussard, sous la baguette du jeune directeur musical maison Michele Spotti (qui veille à unifier ce plateau vocal où prises de rôles et voix consolidées entrent en jeu sous l’autorité vocale du comte Jean-Sébastien Bou et de la comtesse Patrizia Ciofi).

Chef-d’œuvre verdien, La Traviata revient à l’Opéra de Marseille dans la mise en scène historique de Renée Auphan, dans une réalisation d’Yves Coudray. Ruth Iniesta domine la scène dans le rôle-titre, Clelia Cafiero dans la fosse.

Présenté sur la scène de l’Opéra de Marseille avec notamment José Van Dam en 1978 puis en 2010 Askar Abdrazakov dans le rôle-titre, Attila de Verdi revient une nouvelle fois, pour trois représentations en version concertante avec Ildebrando d’Arcangelo dans le rôle du “fléau de Dieu”.

L’Opéra de Marseille ouvre sa saison lyrique avec L’Africaine, dernier opéra de Meyerbeer, qu’il a achevé la veille de sa mort. Sous la direction de Nader Abbassi, Charles Roubaud et un plateau vocal distribué avec soin servent une partition qui gagne à être connue.

Poursuivant son exploration du Grand opéra français avec une équipe musicale à la hauteur de la difficulté, l’Opéra de Marseille présente Les Huguenots de Meyerbeer.

Nabucco de Verdi est de retour à l’Opéra de Marseille après 28 ans d’absence, incarné par Juan Jesús Rodríguez, sous la direction de Paolo Arrivabeni, dans une mise en scène de Jean-Christophe Mast, produite par l’Opéra de Saint-Étienne.

L’incontournable Carmen de Bizet revient à l’Opéra de Marseille avec une deuxième distribution, dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda, apportant un éclairage subtil :

L’Opéra de Marseille accueille la mise en scène par Jean-Louis Grinda du chef d’œuvre de Bizet, dix ans après la dernière production, en attendant sa reprise aux Chorégies d’Orange cet été.

Pour ces fêtes de fin d’année, l’Opéra de Marseille invite à "L’Auberge du Cheval Blanc", opérette de Ralph Benatzky mise en scène par Gilles Rico (production en provenance de Lausanne) :

L’Opéra de Marseille propose pour sa première fois "Giovanna d’Arco" de Verdi, dans une version concertante, incarnée par Yolanda Auyanet sous la direction de Roberto Rizzi Brignoli qui vient de diriger "Élisabeth, Reine d'Angleterre" de Rossini in loco :

L’Opéra de Marseille propose pour sa première fois "Elisabetta, regina d'Inghilterra" de Rossini, dans une version concertante dirigée par Roberto Rizzi Brignoli avec Karine Deshayes dans le rôle-titre :

L'Opéra de Marseille fait sa rentrée lyrique avec Macbeth de Verdi incarné par Dalibor Jenis tout contre sa diabolique Lady incarnée par Anastasia Bartoli, sous la direction de Paolo Arrivabeni dans la mise en scène de Frédéric Bélier-Garcia co-produite avec Avignon :

Pour sa dernière production lyrique de la saison, l’Opéra de Marseille, en coproduction avec l’Opéra National de Bordeaux, reprend le Don Carlo de Verdi dans la version milanaise, en quatre actes, mise en scène par Charles Roubaud :

La savante turquerie de Mozart poursuit son voyage de Monaco à Marseille dans la mise en scène ferroviaire de Dieter Kaegi.

Le roman épistolaire de Goethe, mis en opéra par Massenet, comble les attentes d’émotions lyriques du public marseillais. La reprise de la production nancéienne signée Bruno Ravella ​est portée par un couple de jeunes premiers investis dans ce drame tragico-romantique.

L'Opéra de Marseille revoit et maintient La Walkyrie de Wagner en version semi-scénique, entre reprise et réinvention, entre retours marquants et prises de rôles :​

La production répétée à Montpellier il y a un an mais reportée pour causes sanitaires, débute finalement en public à l’Opéra de Marseille avant de faire le tour de France :