L'Opéra National de Bordeaux, en collaboration avec les opéras de Nice, Toulon, Marseille et Avignon (où la production a été dévoilée le mois dernier), présente une version moderne de Rusalka, opéra composé par le tchèque Antonín Dvořák et s'inspirant du triste mythe de La Petite Sirène.

Les opéras de la région Sud se jettent à l’eau pour présenter une nouvelle coproduction ambitieuse : Rusalka mise en scène par Jean-Philippe Clarac et Olivier Deloeuil.

L’Opéra Grand Avignon propose pour la première fois "Idomeneo, re di Creta" de Mozart, dans la mise en scène de Sandra Pocceschi et Giacomo Strada, avec l’Orchestre National Avignon-Provence sous la baguette de leur Directrice musicale, Debora Waldman

L'Opéra de Paris parvient à proposer La Khovantchina de Moussorgski malgré la crise sanitaire qui menace particulièrement des opus avec de tels effectifs :

En collaboration avec France 3 PACA, l’Opéra Grand Avignon présente une adaptation filmique de Don Giovanni, réalisée par Sébastien Cotterot, mise en scène par Frédéric Roels et dirigée par Debora Waldman :

Le public peut enfin retrouver les lieux de culture vivante à partir de ce 19 mai et les théâtres ont annoncé leur programme de reprise jusqu’à la fin de cette saison 2020/2021. Panorama des programmations à travers la France, ville par ville, opéra par opéra :

Pour sa première programmation en tant que Directeur de l'Opéra de Paris, Alexander Neef renverse les habitudes et propose au public une nouvelle voie et de nouvelles voix :

Ôlyrix regroupe pour vous les très nombreuses vidéos offertes via les plateformes lyriques de streaming, pour continuer librement et gratuitement de se cultiver et de faire vivre la passion pour l'Opéra

L’opéra vériste (réaliste italien) d'Umberto Giordano, dans cette coproduction italienne et toulonaise, allie la vision scénique lisible de Berloffa à un plateau qui gravite autour du fiévreux baryton Devid Cecconi.

Les puissances vocales de Jean-Pierre Furlan (Samson), Alexandre Duhamel (Le Grand-Prêtre) et Wojtek Smilek (le Vieillard Hébreu) se combinent pour ouvrir la saison lyrique de l’Opéra de Massy avec Samson et Dalila de Saint-Saëns (1835-1921) :

L'Opéra de Massy rappelle la vitalité de l'art lyrique en Île-de-France, accueillant des chefs-d'œuvre, des productions en vue, de nombreux concerts et soirées pour tous.

Ôlyrix vous propose une sélection des productions marquantes de la saison 2017/2018 en régions parmi les 750 comptes-rendus rédigés cette année par l'équipe de rédaction :

Revivez les moments forts de la saison 2017/2018 en Île-de-France à travers notre récapitulatif :

Dans une mise en scène articulant des couleurs choisies comme des symboles épurés, Samson et Dalila referme la saison à l'Opéra-Théâtre de Metz Métropole avec une nouvelle soliste à suivre et des seconds rôles de métier :

L’Opéra de Saint-Étienne et son excellent chef David Reiland impressionnent le public Stéphanois en lui offrant le célèbre Requiem de Giuseppe Verdi, avec grand orchestre et près de deux-cents choristes.

Cette Butterfly concertante a tout d'une version scénique d'exception : plateau vocal sonore et aguerri, ténor surpuissant, Suzuki de luxe et une Butterfly à la mesure de sa fin, sublime.

En guise de pot d’adieu à l’Opéra de Rouen qu’il a dirigé durant huit ans, le metteur en scène Frédéric Roels offre une Norma émouvante et poétique, notamment portée par une admirable Anna Kasyan en Adalgisa.

La nouvelle production de ce chef-d’œuvre qui ouvre les Chorégies d’Orange, en coproduction avec l’Opéra de Marseille, articule l’échelle monumentale de la conception scénique de Charles Roubaud et l’échelle intime d’un récital d’émotion entre un père et sa fille, le Rigoletto de Leo Nucci et la Gilda de Nadine Sierra.

Au cours d’un concert d’hommage de près de six heures, Raymond Duffaut a vu défiler pour son départ plus d’une trentaine de solistes lyriques et de chefs d’orchestre sur la scène de l’Opéra Grand Avignon. Un événement exceptionnel par son ampleur !

Pour sa dernière proposition de la saison, l’Opéra de Marseille, en coproduction avec l’Opéra national de Bordeaux, a choisi de représenter Don Carlo dans sa présentation milanaise habituelle de 1884, plus concise que la version française d’origine. La stature vocale des interprètes principaux, avec une mention particulière pour Yolanda Auyanet (Elisabetta) et Jean-François Lapointe (Rodrigo), la précision incisive de la direction musicale de Lawrence Foster, le réalisme stylisé de la mise en scène restituent la puissance de conception de cette immense œuvre verdienne.