Cette production de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, ​fidèle à la passion pour le bel canto et au classicisme de feu Stefano Mazzonis di Pralafera qui conçut cette mise en scène​, offre à son public l’un des plus grands succès de Donizetti avec une distribution très lyrique :

L'Opéra de Liège a maintenu activités musicales et dynamisme en streaming avec "adaptation et réinvention" malgré la crise sanitaire, même endeuillé et en hommage à son Directeur Stefano Mazzonis di Pralafera qui avait conçu cette prochaine saison sous le signe de la résilience : "brillante, variée, accessible au néophyte, alléchante pour l’aficionado, surprenante pour tous".

Pour sa première grande production lyrique donnée depuis seize mois, l’Opéra de Saint-Étienne accueille Otello de Verdi qui en plus d’offrir le luxe d’en revenir aux temps « normaux » d’un spectacle donné devant un public, permet d’apprécier les performances d’un plateau vocal fort qualitatif :

Le public peut enfin retrouver les lieux de culture vivante à partir de ce 19 mai et les théâtres ont annoncé leur programme de reprise jusqu’à la fin de cette saison 2020/2021. Panorama des programmations à travers la France, ville par ville, opéra par opéra :

Pour l’ouverture de la saison 2020/2021 et le retour aux grands fastes de la culture, l’Opéra Royal de Wallonie-Liège s’attelle à la présentation du chef d’œuvre popularissime de Puccini

Pour ouvrir cette saison 2020/2021, Stefano Mazzonis di Pralafera, le Directeur général et artistique de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, a choisi un opus des plus populaires et une distribution prestigieuse pour le porter. L’objectif était d’en faire une fête à l’occasion du bicentenaire de l’institution. Finalement, cet ouvrage symbolique célèbre également la réouverture du théâtre après l’épreuve du Coronavirus.

L'Opéra de Saint-Etienne annonce sa prochaine saison avec 3 nouvelles productions maison et 2 reprises : de nouveaux airs et une nouvelle ère déconfinée faisant la part belle à ces émotions qui transcendent les époques, grâce à des compositeurs de génie et des figures tragiques.

Don Carlos en français de Verdi est donné pour la première fois à l’Opéra Royal de Wallonie. Pour cet événement majeur (de la saison), la maison liégeoise réunit les interprètes internationaux Kunde, d’Arcangelo, Lhote sous la direction du chef italien, Paolo Arrivabeni.

Reportage dans les ateliers de l'Opéra Royal de Wallonie, d'où sortira prochainement un nouveau Roi paré et décoré : Don Carlos représenté in loco pour la première fois, du 30 janvier au 14 février 2020.

Tels les battements d'ailes de papillons qui provoquent des ouragans, les intentions et les exécutions de la soprano et de la cheffe d'orchestre marquent le public et cette nouvelle mise en scène, située au Japon mais après-Guerre :

Stefano Mazzonis di Pralafera livre une mise en scène classique et esthétique d’Anna Bolena de Donizetti à l’Opéra royal de Wallonie, emmenée par Olga Peretyatko dans le rôle-titre.

Revenant (après cinq années) sur la scène de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, Aïda de Verdi fait l’objet d’une nouvelle production signée par les soins de Stefano Mazzonis di Pralafera, maître des lieux, le temps de dix représentations programmées jusqu’à mi-mars 2019.

Œuvre classique de l’opéra buffa par excellence, Il Matrimonio segreto de Domenico Cimarosa trouve à l'Opéra Royal de Wallonie-Liège une interprétation fidèle, précise et rafraîchissante.

La saison 2018/2019 de l’Opéra de Liège s’ouvre sur un Trouvère de Verdi où les interprètes féminines, Yolanda Auyanet (Leonore) et Violeta Urmana (Azucena) se taillent la part du lion :

L’Opéra Confluence d’Avignon offre sa scène aux motifs découpés par l’équipe de Mazzonis di Pralafera à la Violetta de Maria Teresa Leva. Le Germont père d’Ernesto Petti est bien la clé dramatique et lyrique qui ramène et renferme l’héroïne dans les étroites limites des apparences mondaines.

Verdi (par trois fois), Cimarosa, Puccini, Rossini, Donizetti, Bellini, tout sera italien à l'Opéra de Liège, même l'opéra de Mozart... Tout ? Enfin presque, le compositeur gaulois Gounod fera figure d'exception, mais pour un Faust mis en scène par un italien et coproduit par Turin :

"Œuvre de maturité" de Giacomo Puccini, Manon Lescaut trouve une incarnation fidèle à l’Opéra de Liège. Sous la direction musicale de Speranza Scappucci, Manon raisonne ici de doutes, dans la violence d’une manifestation fidèle à la volonté du compositeur italien. Vertiges des amours trahies, Manon déchante dans une spirale menant au désespoir. Et quel désespoir !

L'Opéra de Liège ressuscite un Grand Opéra français méconnu de Verdi. L'orchestre remarquablement dirigé par Speranza Scappucci fait rayonner des voix bien campées, dans la mise en scène très fidèle à la pâte du directeur de l'institution, Stefano Mazzonis di Pralafera.

Dans une mise en scène classique de Stefano Mazzonis di Pralafera pour l'Opéra royal de Wallonie, Leo Nucci incarne à la perfection l’un de ses rôles fétiches : Nabucco de Verdi.