L’Opéra national de Paris annonce sa saison 2024/2025 avec une alternance de rires et de larmes :

La Fenice de Venise reprend La Bohème de Puccini dans la production de Francesco Micheli sous la direction musicale de Stefano Ranzani à la tête d’une nouvelle distribution.

L’Opéra de Trieste, ville du glacial vent nommé “bora” reprend l’opéra de Bellini “I Capuleti e i Montecchi” dans la mise en scène d’Arnaud Bernard, avec une double distribution conduite par Enrico Calesso.

Les tragiques amants de Vérone immortalisés par Shakespeare mais aussi dans l’Opéra de Bellini “I Capuleti e i Montecchi” font à nouveau résonner le Teatro Verdi à Trieste :

La Fenice, opéra de Venise ouvre sa saison lyrique avec Falstaff de Verdi dans une mise en scène sombre et classique d'Adrian Noble, sous la baguette de Myung-Whun Chung :

La reprise du Barbier de Séville (de Rossini) par Michieletto à l'Opéra Bastille propose une deuxième distribution vocale avec Carlo Lepore et les débuts parisiens d'Emily D'Angelo en Rosina, René Barbera sur scène et Roberto Abbado dans la fosse.

L'Opéra national de Paris représente Le Barbier de Séville de Rossini pour la 1277ème fois, dont 40 dans cette mise en scène de Damiano Michieletto toujours aussi dynamique, très riante et applaudie :

Les Arènes de Vérone accueillent un fameux Festival l’été, le reste de la saison de cette Fondation se déroulant dans le Théâtre Philharmonique situé à seulement 200 mètres de là, et qui propose un programme complémentaire, tel cet opéra baroque de Vivaldi :

L'Opéra de Venise présente pour la toute première fois l'édition critique de la partition (réalisée par David R.B. Kimbell) d'I Lombardi alla prima crociata, revenant au manuscrit de Verdi. La mise en scène à l'avenant marie retour aux sources (Bibliques) et aujourd'hui :

Frédéric Chaslin vient de diriger la réouverture opératique de La Fenice au public, son travail de compositeur le mène également à signer des adaptations qui permettent aux opéras de rouvrir ou de rester en activité. Retour sur cette période particulière :

Le Teatro Real à Madrid surmonte les difficultés imposées par la pandémie et ouvre sa nouvelle saison avec Un Bal masqué. Le chant de qualité touche au cœur Madrid, ville européenne la plus touchée par le virus.

Après Les Contes d'Hoffmann, Le Barbier de Séville permet au rideau de se relever à l'Opéra de Paris. Un spectacle animé par l'immense plateau de Michieletto, tournant comme la battue de Carlo Montanaro ​et la voix de Lisette Oropesa.

La représentation du Barbier de Séville qui devait marquer ce soir la reprise des activités lyriques pour 2020 à l'Opéra de Paris est annulée. La grève qui se poursuit sans interruption depuis le 5 décembre 2019 est la plus longue dans l'histoire de l'institution :

Ôlyrix vous propose une sélection des productions marquantes de la saison 2017/2018 en régions parmi les 750 comptes-rendus rédigés cette année par l'équipe de rédaction :

En cette fin d’année, revivez les moments forts de la saison 2017/2018 de l’Opéra de Paris à travers nos comptes-rendus exclusifs :

Le public bordelais réserve un accueil chaleureux au spectacle de Francesco Micheli, servi par une distribution très intéressante qui, côté masculin, convoque la fine fleur du chant français.

Le Barbier de Séville mis en scène par Damiano Michieletto fait forte impression avec son immense décor mobile tournant aussi lentement que l'orchestre, tandis que les voix s'animent et séduisent.

Œuvre héritière de Rossini et initiatrice de Verdi, le premier Grand Opéra de Donizetti s’écrit et se joue avec une modernité à la limite de la fiction d’anticipation. Un destin tragique et complexe en quatre actes, d’une richesse musicale au carrefour des genres, en coproduction avec la Fenice de Venise.