Chef-d’œuvre verdien, La Traviata revient à l’Opéra de Marseille dans la mise en scène historique de Renée Auphan, dans une réalisation d’Yves Coudray. Ruth Iniesta domine la scène dans le rôle-titre, Clelia Cafiero dans la fosse.

L’Opéra de Marseille ouvre sa saison lyrique avec L’Africaine, dernier opéra de Meyerbeer, qu’il a achevé la veille de sa mort. Sous la direction de Nader Abbassi, Charles Roubaud et un plateau vocal distribué avec soin servent une partition qui gagne à être connue.

Pour sa dernière production lyrique de la saison, l’Opéra de Marseille, en coproduction avec l’Opéra National de Bordeaux, reprend le Don Carlo de Verdi dans la version milanaise, en quatre actes, mise en scène par Charles Roubaud :

L'Opéra de Marseille revoit et maintient La Walkyrie de Wagner en version semi-scénique, entre reprise et réinvention, entre retours marquants et prises de rôles :​

L’Odéon de Marseille, fief de l’opérette, reprend “Là-Haut” de Maurice Yvain, avec une distribution pratiquement identique à celle de 2018, ainsi que le rire et la bonne humeur toujours au rendez-vous :

Créée aux Chorégies d’Orange à l’été 2013, cette production du Vaisseau Fantôme de Wagner mise en scène par Charles Roubaud fit escale en 2015 à l’Opéra de Marseille avant de venir s’amarrer pour deux représentations à l’Opéra de Massy :

L'Opéra de Marseille annonce sa saison de reprise 2021/2022 avec des opus lyriques ambitieux, du Guillaume Tell de Rossini au Don Carlo de Verdi :

Ôlyrix regroupe pour vous les très nombreuses vidéos offertes via les plateformes lyriques de streaming, pour continuer librement et gratuitement de se cultiver et de faire vivre la passion pour l'Opéra

La mise en scène drôle, inventive et décalée de Nadine Duffaut fait souffler un vent de modernité bienvenu sur l’Odéon de Marseille

Après les Chorégies d'Orange, la version scénique de Rigoletto redimensionnée par Charles Roubaud offre au public marseillais un concentré convaincant, plus intime mais porté par un plateau vocal à la mesure de sa démesure.

La célèbre partition inachevée de Puccini embrase la maison d’opéra marseillaise par son esthétisme visuel (Charles Roubaud), sa précision instrumentale (Roberto Rizzi Brignoli) et sa ferveur lyrique (Antonello Palombi).

À la veille de l'année bicentenaire de Jacques Offenbach, l’Opéra d’Avignon présente Orphée aux Enfers dans une mise en scène dynamique et flamboyante, avec Julie Fuchs époustouflante qui comble le public de la ville qui l'a vue grandir.

Après un début de spectacle marqué par la présence d’employés de la machinerie de l’Opéra en grève sur scène, cette production de La Traviata marquera surtout la première européenne en Violetta de Nicole Car et une excellente performance d’Étienne Dupuis en Germont.

Ôlyrix vous propose une sélection des productions marquantes de la saison 2017/2018 en régions parmi les 750 comptes-rendus rédigés cette année par l'équipe de rédaction :

Avec sa saison 2018-2019 intitulée « Égalité », l’Opéra Grand Avignon se dévoile dans une programmation riche en opéras et en soirées lyriques.

L'Opéra de Marseille annonce sa programmation pour la saison 2018/2019 : huit classiques du répertoire, qui brillent par leurs distributions vocales.

Cette œuvre, puissamment collective, est autant un plaidoyer d’opéra qu’un plaidoyer pour l’opéra. La longue méditation de l’écrivain est portée par la présence continue de Roberto Alagna, qui condamne le spectateur à l’accompagner émotionnellement jusqu’à son dernier souffle, et à franchir avec lui la ligne du couloir de la mort.

Pour sa dernière proposition de la saison, l’Opéra de Marseille, en coproduction avec l’Opéra national de Bordeaux, a choisi de représenter Don Carlo dans sa présentation milanaise habituelle de 1884, plus concise que la version française d’origine. La stature vocale des interprètes principaux, avec une mention particulière pour Yolanda Auyanet (Elisabetta) et Jean-François Lapointe (Rodrigo), la précision incisive de la direction musicale de Lawrence Foster, le réalisme stylisé de la mise en scène restituent la puissance de conception de cette immense œuvre verdienne.

La tragédie lyrique en deux actes de Bellini (1801-1835) sur un livret de Felice Romani, créée à la Fenice de Venise, en 1830 n’a pas été donnée à Marseille depuis 1995. Une coproduction Opéra Grand Avignon et Grand théâtre de Tours réunit un splendide duo de cantatrices, Patrizia Ciofi en Giulietta et Karine Deshayes en Roméo, qui rend sensible autant qu’audible, la raison profonde du travestissement : le mariage de timbre, plus impérieux que le mariage social, l’amour céleste, plus unificateur que l’amour mondain. L’opéra s’écoute comme une immense prière-cantilène, inspirée par l’amour, passion exclusive, qui ne peut exercer son pouvoir unificateur que par et dans la mort.

Ce vendredi 4 novembre 2016, l’Opéra de Massy présentait une nouvelle production signée Charles Roubaud d’Aida de Verdi, mettant en scène Cécile Perrin, Aude Extrémo et Carl Tanner sous la direction de Paolo Olmi.