L’Orchestre de Paris dirigé par Klaus Mäkelä propose une méditation musicale sur la mort en quatre tableaux lumineux et saisissants. En hommage au centenaire de la disparition de Gabriel Fauré, le programme met à l’honneur son Requiem, enluminé par la création Towards the Light de Thierry Escaich :

Le Festival d’Aix-en-Provence ouvre son édition 2024 au Grand Théâtre de Provence avec un spectacle ambitieux : la réunion de deux ouvrages lyriques de Christoph Willibald Gluck en une seule soirée, "Iphigénie en Aulide" et "Iphigénie en Tauride".

Le chef d’orchestre Aziz Shokhakimov fait ses débuts au Festival de Saint-Denis à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg et du Chœur de l’Orchestre de Paris rejoints par Pretty Yende et Ludovic Tézier pour “Un Requiem allemand” de Brahms :

La grande salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris est, pour deux soirées, le réceptacle des éclats de “Carmina Burana” de Carl Orff que précède “Operascope” d'Unsuk Chin en création française. En grand ordonnateur, Andrés Orozco-Estrada dirige l’imposant effectif orchestral et vocal de l’Orchestre de Paris et des nombreux chœurs s’y rattachant, auxquels se joignent trois solistes :

Département Supérieur pour Jeunes Chanteurs (DSJC) du Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris & jeune chœur de paris : ils ont justement cette spécificité et cette richesse d'être indissociables, alliant formation musicale et vocale avec la pratique chorale (et réciproquement). Pour revenir sur les 20 ans (et plus) de ce programme hors du commun où le chœur est au cœur de la formation et la formation au cœur du chœur, nous avons échangé avec son quatuor directorial. Panorama anniversaire et perspectives :

En cette période sacrée pour les fidèles & mélomanes, Insula Orchestra et le Chœur accentus dirigés par Laurence Equilbey proposent un programme réunissant le père et le fils Bach et le saint Esprit musical :

Le Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR) de Paris fête les 20 ans de son Jeune Chœur de Paris, un ensemble professionnalisant placé sous la direction de Marc Korovitch et Richard Wilberforce :

Le Directeur du TCE Michel Franck présente la dernière saison de son mandat de 15 ans, avant de céder la place à Baptiste Charroing (déjà Directeur de production in loco). La programmation propose plusieurs clins d'œil, à son mandat, à son prédécesseur et à son successeur dans le cadre d'une saison qu'il a voulue, face aux contextes, "la plus rassurante possible" :

La Philharmonie de Paris présente "Transfiguré - 12 Vies de Schönberg", création mise en scène et réalisée par Bertrand Bonello. Un spectacle chromatique : jouant sur les couleurs visuelles et sonores.

La Philharmonie de Paris accueille la 8ème Symphonie de Mahler, portée par ses forces musicales de l'Orchestre de Paris, du Chœur et du Chœur d'enfants de l'Orchestre de Paris mais également l'Orchestre du Conservatoire de Paris, le Jeune Chœur et la Maîtrise du CRR (Conservatoire Régional) de Paris, sans oublier les solistes, le tout dirigé par Daniel Harding :

L'ouverture de saison se fait en grand effectif pour l’Orchestre de Paris avec son Chœur et celui du Centre de Musique d'Helsinki auxquels se joignent le pianiste Bertrand Chamayou et trois artistes lyriques russes et biélorusses, pour interpréter de la musique russe (Stravinsky, Prokofiev et Rachmaninov), sous la direction de Klaus Mäkelä :

Klaus Mäkelä et Sir Willard White font vaciller les murs de la Philharmonie dans l’oratorio Belshazzar’s Feast de William Walton, avec l'Orchestre et le Chœur de l’Orchestre de Paris, mais également Sol Gabetta dans la première partie consacrée à Chostakovitch :

La Philharmonie de Paris annonce la nomination effective dès le mois de septembre 2023 pour un mandat de trois ans de Richard Wilberforce à la direction du Chœur de l’Orchestre de Paris. Il succède au binôme Marc Korovitch & Ingrid Roose nommés en janvier 2022 pour succéder à Lionel Sow :

La Chapelle Royale du Château de Versailles fait revivre le retour de Louis XV avec la Cour au son de la musique de son glorieux passé, portée par les musiciens de demain :

L’Opéra de Lille ouvre sa saison lyrique avec Sémélé, drame musical en trois actes créé en 1744 par Händel, mis en scène par Barrie Kosky :

En ce mois d’ouverture de saison, l’Orchestre de Paris sous la baguette d’Esa-Pekka Salonen confronte trois univers sonores presque discordants : Claude Debussy des années de jeunesse, György Ligeti des années 1970 et l’œuvre phare d’Olivier Messiaen, Turangalîla-Symphonie.

La première journée des Rencontres Musicales de Vézelay s’achève sur l’oratorio Esther de Haendel, avec Rachel Redmond dans le rôle-titre, le Jeune Chœur de Paris et son chef Richard Wilberforce, et l’Ensemble Le Stagioni dirigé par Paolo Zanzu.

Le compositeur Pascal Dusapin crée au Grand Théâtre de Provence son nouvel opéra, Dantesque (d’après “La Divine Comédie” et “Vita Nova”) avec un orchestre aux sonorités d’outre-tombe électrisé par un plateau vocal survolté.

François Delagoutte nous présente La Cité de la Voix Bourgogne Franche-Comté qu'il dirige depuis 2018 : ses missions et ses actions à travers le territoire et toute l'année, avec pour point d'orgue les Rencontres Musicales de Vézelay fin août dont il détaille l'édition 2022

Avant de reprendre la route du cycle "Licht" de Stockhausen et après avoir représenté Samstag et Montag (Samedi et Lundi), Le Balcon revient à la Philharmonie de Paris et au premier épisode (Donnerstag) donné ici en trois heures (sans le troisième acte) :