À l’occasion du Festival KLARA qui se tient durant le mois de mars au sein de différents lieux culturels bruxellois, BOZAR reçoit en sa Salle Henry Le Bœuf le tissage sensible de cinq âmes musicales autour du Lied romantique :

La Monnaie de Bruxelles axe le programme de sa prochaine saison sur le thème de la fatalité, invitant justement à admirer comment les héros des opéras affrontent leur destin (une manière assurément aussi d’inviter le monde de la culture et cet art lui-même à en faire autant) :

Dans un programme romantique en diable, le jeune ténor franco-suisse s’affirme en mélodiste, avec Sarah Tysman qui le rejoint au piano :

La nouvelle création collective de Samuel Achache, présentée au Théâtre Gérard-Philipe – CDN de Saint-Denis dans le cadre du Festival d’Automne, met en dialogue musique et théâtre dans une recherche propre au metteur en scène et à la nouvelle génération du théâtre musical.

Le ténor très attendu pour ses débuts aixois et dans sa première interprétation des Dichterliebe de Schumann, enchante le public du Festival, en duo inspiré avec le pianiste Mathieu Pordoy.

L'incontournable Guide Ôlyrix estival recense les plus grands Festivals de musique classique et lyrique à travers l'Europe (par ordre chronologique) : de quoi célébrer la reprise culturelle cet été, où que vous viviez ou partiez en vacances

Pour son grand retour dans le paysage culturel estival auvergnat après deux annulations consécutives, le Festival Volcadiva programme comme à son habitude une série de courts récitals où brillent les voix et les pianos

Le Grand Dossier Ôlyrix des Festivals de l'été vous présente chaque année les concerts lyriques qui vous attendent à travers la France (et l'Europe) : un grand tour lyrique des réjouissances artistiques (classées par ordre chronologique de début).

Le baryton Matthias Goerne et le pianiste Daniil Trifonov parcourent les méandres obscurs des Lieder de Berg, Schumann, Wolf, Chostakovitch et Brahms en récital à la Philharmonie de Paris.

Trois chanteurs du Chœur de l’Opéra National du Rhin, la soprano Emmanuelle Schuler, le ténor Jean-Noël Teyssier et le baryton Fabien Gaschy colorent la Salle Bastide d’airs d’opéras et de chansons des XIXeme et XXeme siècles sur le thème des saisons.

Le duo chambriste formé par le ténor Stanislas de Barbeyrac et le pianiste Michel Dalberto propose un programme qui remonte le temps avec Mahler, Duparc et Schumann.

Jonas Kaufmann donne rendez-vous ce lundi soir à 20h15 sur la web-télévision diffusée par l'Opéra d'Etat de Bavière (dans sa ville natale de Munich). L'un des nombreux rendez-vous virtuels donnés par ce haut lieu de la culture et les autres à travers la planète :

Comme pour les Journées du Patrimoine et bien entendu la Fête de la Musique, certaines maisons d'opéra participent à cette manifestation culturelle annuelle et gratuite, désormais traditionnelle qu'est la Nuit Blanche. Focus sur des initiatives lyriques :

Chaque année à l'été, les meilleurs Festivals s'égrènent dans les plus somptueux paysages de France et d'Europe. Pour vous y repérer, nous vous avons préparé une sélection (classée par ordre chronologique).

Katie Mitchell met en scène et en ostinato les noces des espoirs et violences faites aux femmes, des 16 Dichterliebe de Heine & Schumann avec 16 nouvelles compositions de Foccroulle & Crimp. Une plongée dans le noir avec la soprano Julia Bullock, le pianiste Cédric Tiberghien et quatre sbires comédiens :

Les Bouffes du Nord sont une Institution théâtrale, mais le programme musical n'a rien à envier à l'art dramatique :

Le baryton-basse Florian Hille et le pianiste Tanguy de Williencourt, à l’aube d’une carrière prometteuse, s’emparent du célèbre cycle de Robert Schumann en première partie des soirées de janvier du Centre de Musique de Chambre de Paris. Les amours malheureuses du poète, chantées par la plume de Heinrich Heine, trouvent dans la Salle Cortot une écoute recueillie, attentive à la richesse des sentiments exprimés.

Les compositeurs Brahms et Schumann ont trouvé une voix fidèle à l’âme romantique, tant Anglaise d’origine qu’Allemande de cœur. Présenté au Théâtre des Galeries, un florilège de textes chantés par le ténor Ian Bostridge et joué au piano par Julius Drake, rendent à Brahms et Schumann un Lied subtile et évocateur.

​L’Athénée a renoué avec bonheur avec cette belle tradition des années 80-90, les Lundis musicaux de l’Athénée. Pour ce second numéro, le ténor Cyrille Dubois accompagné magistralement par le formidable pianiste Alphonse Cemin a donné un programme composé de trois œuvres : "Dichterliebe" de Robert Schumann (sur des poèmes de Heinrich Heine), "Cinq Mélodies de Venise" de Gabriel Fauré (poèmes extraits des "Fêtes galantes" et "Romances sans paroles" de Paul Verlaine) et "Seven Sonnets of Michelangelo" de Benjamin Britten (sur des poèmes de Michel Ange).

Ce récital fait résonner (et raisonner) les mélodies françaises et leurs équivalents allemands, les Lieder. Tout au long du concert, Tézier incarne la tendre puissance de ces poèmes musicaux, d'une voix bien assise dans les graves et rayonnante de douceurs aiguës. Son implication est à la fois subtile et opératique.