Malgré quelques modifications à la marge dans sa mise en scène de la Tétralogie au Festival Wagner, Valentin Schwarz reçoit en conclusion les huées du public, contrastant d’autant plus avec l'accueil fait aux chanteurs et à la direction d'orchestre :

Le Festival consacré à Wagner poursuit sa reprise de la Tétralogie mise en scène par Valentin Schwarz, continuant de plonger le public dans des abîmes de perplexité malgré l’excellence du plateau vocal et l’efficacité de la direction de Pietari Inkinen.

Pour sa deuxième année au Festival wagnérien, le Ring mis en scène par Valentin Schwarz se révèle identique, malgré quelques individualités vocales remarquées et la direction de Pietari Inkinen de cet Or du Rhin :

Fin de parcours pour ce nouveau Ring 2022 à Bayreuth. Le rideau tombe sur une bordée de huées, résultat d'un travail qui aura eu le curieux mérite de réconcilier anciens et modernes – même si les deux camps protestent finalement pour des raisons différentes :

Dans La Walkyrie, au sein de la nouvelle production de La Tétralogie de Wagner à Bayreuth, le metteur en scène Valentin Schwarz met à jour des conflits familiaux plus resserrés mais sans proposer une cohérence générale. Le plateau vocal est en grande partie superlatif, malgré une direction musicale en demi-teinte de Cornelius Meister.

La crise COVID avait conduit à l'annulation du nouveau Ring mis en scène par Valentin Schwarz qui voit enfin le jour cet été, sous la direction de Cornelius Meister, remplaçant au pied levé Pietari Inkinen initialement prévu.

Le chef d’orchestre Semyon Bychkov retrouve la Symphonie n°2, « Résurrection » de Gustav Mahler ainsi que l’Orchestre de Paris auquel se joignent le Chœur de l’Orchestre de Paris, la soprano Hanna-Elisabeth Müller et la mezzo Christa Mayer.

L'initiative de la Directrice Katharina Wagner d'inviter le plasticien Hermann Nitsch pour faire de La Walkyrie une "action artistique" prolonge une tradition fortement ancrée à Bayreuth.

Alors que l’édition 2021 du Festival de Bayreuth a débuté depuis le 25 juillet et se déroulera jusqu’au 25 août, un cycle du Ring est confirmé pour l’édition 2022, ainsi qu'un Parsifal en 2023 qui s’appuiera sur la réalité augmentée.

La saison 2021/2022 de l'Opéra d'État de Bavière, la première des nouveaux Directeur général Serge Dorny et Directeur musical Vladimir Jurowski, vise à représenter la nature humaine dans toutes ses nuances, et pour ce faire, seront convoqués certains des plus célèbres opéras du répertoire, mais également la création lyrique contemporaine :

En raison du contexte sanitaire, la Philharmonie de Paris a décidé d'annoncer sa saison en deux temps. La première moitié (septembre-décembre 2021) a déjà tout d'un programme complet et du désir de la reprise :

L'Opéra de Dresde a annulé le reste de sa saison 19/20 comme la plupart des théâtres, mais il annonce une prochaine saison riche comme à son habitude avec 22 reprises, 7 nouvelles productions et une tétralogie :

L’édition 2019 marque la dernière année du Tristan de Katharina Wagner à Bayreuth. La beauté quasi picturale des décors de Frank Philipp Schlöβmann et Matthias Lippert est transpercée par le fil rouge d'une scénographie qui assène l'idée d'un Marke autoritaire et tyrannique. Petra Lang domine un plateau porté à ébullition par la direction de Christian Thielemann.

Le Festival de Bayreuth, temple de Wagner, révèle le programme détaillé avec les distributions de son édition 2019. Deux vedettes russes font leurs débuts : Anna Netrebko et Valery Gergiev.

Tristan apparaît pour la quatrième fois de suite dans la mise en scène de Katharina Wagner (arrière-petite-fille de Richard Wagner) sur la scène de Bayreuth. L'approche est étonnamment classique et la soirée s’élève vers les sommets grâce à un plateau en équilibre, avec le fidèle Christian Thielemann qui dirige dans l'assurance et la gloire seyant aux grands interprètes.

Le retour bien commode du Vaisseau fantôme mis en scène par Jan Philipp Gloger permet au Festival de Bayreuth de meubler le programme en cette année de transition. La naïveté des idées plombe une vision générale qui fait du personnage principal le héraut solitaire d'un combat contre le capitalisme. Le plateau peine à convaincre, obligeant Axel Kober à multiplier les prouesses dans la fosse…