L'Opéra national du Rhin compose un spectacle associant musique, danse, poésie, littérature, hommages et une belle ambiance tout public, pour présenter sa saison 2019/2020 (avec un bonus) :

Le Syndicat Professionnel de la critique de théâtre, musique et danse a décerné ses Prix 2019, le 21 juin dans la Salle Favart (Opéra Comique de Paris). Vous pouvez cliquer sur chaque opus et artiste musical pour retrouver notre page dédiée et les comptes-rendus afférents :

L’Opéra de Strasbourg et Marie-Eve Signeyrole embarquent le public dans un Don Giovanni expérientiel, à la frontière entre l’opéra, le théâtre et la performance.

Dans un voyage qui le mènera vers l'Inde, l'Opéra national du Rhin (Strasbourg, Mulhouse, Colmar) programme côté lyrique une création française, trois créations mondiales plus quatre nouvelles productions, une riche série de récitals ainsi que prélude, danse, midi lyrique, concert, scènes ouvertes :

L’Opéra national du Rhin présente une version esthétisée du Freischütz de Weber, brillant par l’originalité de sa lecture musicale.

L’œuvre du compositeur Alberto Ginastera donnée en création française inaugure la deuxième édition du festival, qui met à l’honneur l’Argentine, après le Japon l'année dernière. Beatrix Cenci, opéra créé en 1971, inspiré de la légende de la jeune parricide romaine, évolue dans la mise en scène de Mariano Pensotti à l’époque de sa création, dans des années 70 brutales et monstrueusement fascinantes.

Découvrez les artistes instrumentaux et vocaux, les compositeurs et les enregistrements nommés aux Victoires de la Musique Classique 2019 (26ème édition à suivre sur Ôlyrix le 13 février) :

Redécouvrant une œuvre jamais rejouée depuis 160 ans mais qui résonne de manière évidente avec l’actualité brûlante, l’Opéra de Strasbourg trouve avec son Barkouf d’Offenbach une solution à la crise des "gilets jaunes" : nommer un chien au pouvoir !

Servi par un plateau vocal équilibré et la direction subtile de Franck Ollu, le dépouillement de la mise en scène de Barrie Kosky questionne et interpelle :

L'Opéra de Strasbourg offre un nouveau voyage musical, fantastique et engagé : porté par des forces locales, la direction de Claire Levacher​, la mise en scène, scénographie et lumière de Philippe Arlaud, voguant sur deux créations françaises et une création mondiale vers un after techno.

Pour ouvrir sa saison 2018-2019, l’Opéra du Rhin a choisi un pilier du répertoire, propre à attirer un public nombreux et varié (de nombreux jeunes étaient présents lors de cette première). Bien lui en a pris : cette nouvelle production, menée par Michele Gamba à la direction et Pierre-Emmanuel Rousseau à la mise en scène, remporte un vif succès !

Ôlyrix vous propose une sélection des productions marquantes de la saison 2017/2018 en régions parmi les 750 comptes-rendus rédigés cette année par l'équipe de rédaction :

L’Opéra du Rhin a eu la main heureuse en composant la distribution de son Eugène Onéguine : l’occasion de découvrir plusieurs chanteurs inconnus en France mais extrêmement talentueux !

Eva Kleinitz annonce le programme de sa deuxième saison à la tête de l'Opéra national du Rhin (Strasbourg-Colmar-Mulhouse) avec pour envie déclarée : "propager l’onde des émotions". Initiatives, nouvelles productions, retours et confirmations promettent de beaux moments lyriques :

Dans le cadre du Festival ARSMONDO qui fait honneur au Japon (jusqu’au 15 avril), l’envoûtante mise en scène d’Amon Miyamoto donne au public une grille de lecture troublante des codes culturels japonais.

L’Orchestre symphonique de Mulhouse​, sous la battue énergique et généreuse d’Ariane Matiakh, s’empare de l’opéra de Massenet, dont la mise en scène de Tatjana Gürbaca​ explore la thématique de l’amour contrarié dans un décor clos, propice au désir de liberté et de dépassement des conventions. Anaïk Morel en Charlotte et Massimo Giordano en Werther portent un plateau vocal prometteur.

En montant le difficile et trop rare ouvrage de Riccardo Zandonai, Francesca da Rimini, l’Opéra du Rhin fait preuve de courage et offre un spectacle de grande facture, en tous points abouti.

Sous la direction musicale de Patrick Davin, la mise en scène des Noces de Figaro par Ludovic Lagarde ancre l’œuvre dans une thématique d’excès en tout genre et d’appétit charnel.

Quel passionnant voyage vers le sud de l'Italie est offert par l'Opéra National du Rhin avec le diptyque "Cavalleria Rusticana" de Pietro Mascagni et "Pagliacci" de Ruggero Leoncavallo. Cette nouvelle production mise en scène par Kristian Frédric et dirigée par Daniele Callegari éclaire ces deux opéras d'une lumière nouvelle mais sombre, par une approche unifiant les deux compositions comme une seule pièce, en deux parties intitulées « Les labours de la souffrance » I et II.

Les Troyens de Berlioz triomphent dans la distribution du siècle, mythologique, légendaire, dont il faudrait citer chaque interprète telle la liste des héros d'une épopée. La direction de John Nelson, spécialiste de Berlioz, porte les musiciens de l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg en grand effectif et de trois chœurs (Badischer Staatsopernchor, Chœur philharmonique de Strasbourg et Chœur de l’Opéra national du Rhin), le tout culminant à 350 interprètes.