L’Opéra national de Lyon propose à l'Auditorium le chef d’œuvre d'Umberto Giordano, "Andrea Chénier", en version de concert, mené par le directeur musical Daniele Rustioni.

L’Opéra national de Lyon annonce une nouvelle saison mettant l’accent fort sur la modernité et le beau chant lyrique : dans son esprit d’innover pour tous.

Le Directeur du TCE Michel Franck présente la dernière saison de son mandat de 15 ans, avant de céder la place à Baptiste Charroing (déjà Directeur de production in loco). La programmation propose plusieurs clins d'œil, à son mandat, à son prédécesseur et à son successeur dans le cadre d'une saison qu'il a voulue, face aux contextes, "la plus rassurante possible" :

L'Opéra national du Capitole de Toulouse dirigé par Christophe Ghristi invite le public de sa saison prochaine à voyager vers de lointaines contrées lyriques et chorégraphiques, au fil de chefs-d'œuvre du répertoire :

Alors que Noël approche à grands pas et que la période des fêtes sonne l'appel de beaux moments en famille, La Monnaie de Bruxelles donne en création mondiale l'ultime opéra de feu Philippe Boesmans (1936-2022) : "On purge bébé" d'après Feydeau, opus empreint d'une certaine nostalgie et empli d'une audace bien particulière pour des adieux espiègles.

L'Opéra national de Lyon annonce 11 opus lyriques pour sa saison 2022/2023, avec pour thème de son Festival "Franchir les portes"

La Monnaie de Bruxelles a eu le Nez creux pour ne pas se casser Le Nez (nom de l'opéra de Chostakovitch figurant au programme de cette prochaine saison très russe) :

La mise en scène signée Alain Garichot d'Eugène Onéguine (opéra de Tchaïkovski) a traversé les temps et les lieux à travers la France depuis sa première représentation en 1997. 23 ans plus tard, en ce mois de novembre, elle était programmée à l'Opéra de Massy. Ses artistes nous la racontent passionnément, comme pour conjurer cette annulation due au reconfinement :

L'Opéra de Massy annonce sa prochaine saison en i : Italie, Russie, Etats-Unis et tutti quanti avec Verdi, Puccini, deux Tchaïkovski, Chantons sous la pluie, Marie, Amy

Le Théâtre du Capitole de Toulouse annonce une saison rythmée par 11 "chefs-d'œuvre", français, anglais, italiens, allemand et russe :

Deux ans après sa création à l’Opéra Comique, la production de Denis Podalydès du Comte Ory fait escale à l’Opéra de Toulon.

Eugène Onéguine de Tchaïkovski mis en scène par Alain Garichot poursuit son voyage dans l’hexagone et réunit, sous la baguette de la cheffe finlando-ukrainienne Dalia Stasevska, un plateau franco-slave d’exception.

Jérôme Correas et son ensemble Les Paladins font étape à Massy pour faire (ré)découvrir l'un des plus intenses opéras de Haendel, Amadigi, dans une sobre mise en scène de Bernard Lévy.

Les Paladins, l'ensemble de musique baroque dirigé par Jérôme Correas, interprètent au Théâtre de l'Athénée "Amadigi" : opéra de Georg Friedrich Haendel contant les amours du paladin (auguste chevalier religieux) Amadis de Gaule. La mise en scène de Bernard Levy met Amadigi en boîte, dans un écrin vidéo :

L’Opéra Confluence d’Avignon offre sa scène aux motifs découpés par l’équipe de Mazzonis di Pralafera à la Violetta de Maria Teresa Leva. Le Germont père d’Ernesto Petti est bien la clé dramatique et lyrique qui ramène et renferme l’héroïne dans les étroites limites des apparences mondaines.

Six grands classiques (dont un réadapté pour le jeune public), et deux diptyques intriguants sont au programme de l'Opéra varois la saison prochaine :

La qualité Blu-Ray permet d'apprécier la beauté d'une mise en scène et d'une musique classiques : Les Noces de Figaro de Mozart par Jean-Louis Martinoty​ captées ici en 2004 au Théâtre des Champs-Élysées.

L’Opéra de Saint-Étienne présente l’étincelante œuvre de Francesco Cilea dans une mise en scène audacieuse de Davide Livermore, avec une double transposition de temps et d’héroïne, sous la baguette du vigoureux Fabrizio Maria Carminati.

Durant cette soirée au Théâtre des Champs-Élysées, le public est allé de surprises en surprises : la mise en scène minimaliste, mais efficace des chanteurs dans cette version concert, la transformation du chef Enrique Mazzola en comédien aguerri, la complicité entre le claveciniste et les interprètes. Bref, une folie très bien organisée qui a ravi les yeux et les oreilles du public !

La mise en scène cinématographique exacerbe le jeu d'acteur et les voix caractérisées des solistes, renforcés par les chœurs et les couleurs orchestrales.