Deux jours après Lyon, les forces de l’Opéra de la capitale des Gaules proposent au Théâtre des Champs-Elysées une version tellurique d’Adriana Lecouvreur de Francesco Cilea​ sous la baguette de Daniele Rustioni.

L’Auditorium de Lyon accueille en version de concert “Adriana Lecouvreur”, opéra de Francesco Cilea, porté par une riche distribution et sous la direction de Daniele Rustioni.

"Le goût du risque" est en effet le titre donné par le Directeur Richard Brunel à son éditorial annonçant la saison prochaine à l'Opéra national de Lyon : la maison entend ainsi promouvoir, à travers sa programmation, son ouverture sur le monde et sa modernité.

Le TCE annonce 180 levers de rideau, avec 23 opéras en concerts et oratorios, 8 productions scéniques avec même une pièce de théâtre et un spectacle musical dans une saison marquant notamment des débuts pour Cédric Klapisch, Julie Depardieu, des trilogies et tétralogies et davantage :

Le Festival international d'art lyrique d'Aix-en-Provence ouvre son édition 2021 par son identité Mozartienne et dans un irrésistible mélange des genres avec Les Noces de Figaro mises en scène par Lotte de Beer :

L'Opéra de San Francisco se rallumera pour la saison 2020/2021 (espérons-le, et plus tôt même) avec de grands classiques et deux opus modernes, unis par les enjeux sociaux :

John Eliot Gardiner achève à l’Opéra de Versailles sa tournée d’une œuvre qui le passionne manifestement : Benvenuto Cellini. L’occasion d’une captation audio et visuelle.

Covent Garden fait revivre la production signée en 2006 par David McVicar : Le nozze di Figaro de Mozart et da Ponte avec une distribution captivante.

Le Metropolitan Opera House de New York met à l’honneur le bel canto pour sa huitième retransmission de la saison en direct dans les cinémas. Toujours avec de grands interprètes, dans une mise en scène qui a fait ses preuves.

Le chef-d'œuvre de Francesco Cilea fait l’objet de la nouvelle captation du Metropolitan Opera House de New York, transcendé par une distribution superlative évoluant dans la production signée David McVicar.

En cette fin d’année, revivez les moments forts de la saison 2017/2018 de l’Opéra de Paris à travers nos comptes-rendus exclusifs :

Une équipe virevoltante, des personnages qui luttent contre la montre et des spectateurs enthousiastes qui ne voient pas le temps passer.

Ces deux productions de L'Heure espagnole de Maurice Ravel et de Gianni Schicchi de Giacomo Puccini signées par Laurent Pelly, créées au Palais Garnier en 2004, viennent pleinement s’épanouir sur la scène de l’Opéra Bastille sous la baguette de Maxime Pascal.

Après seulement deux productions au XXe siècle (en 1972 au Palais Garnier avec une distribution éblouissante : Vanzo, Guiot, Massard, Berbié, van Dam ; puis en 1993 à Bastille dans une production signée Denis Krief et dirigée par Myung-Whun Chung), l’œuvre maudite de Berlioz revient à l’Opéra de Paris, et obtient un formidable succès !

Guillaume Gallienne réussit ses débuts à l’opéra en recueillant l’assentiment du public du Palais Garnier pour sa sombre Cenerentola de Rossini, première incursion dans l’univers lyrique.

Une semaine avant l'annonce officielle de la saison de l'Opéra de Paris par Stéphane Lissner, le programme a été envoyé à un grand nombre de spectateurs afin qu’ils puissent en prendre connaissance avant la mise en ligne conjointe de la saison et des abonnements le 25 janvier.