L’Opéra de Tours ouvre sa saison lyrique avec deux œuvres de Georges Bizet : “L’Arlésienne” et “Le Docteur Miracle”. La première, trop rare musique de scène, est liée à une expression fameuse, la seconde est une pièce de jeunesse largement méconnue. Le public découvre l’une et l’autre sous la baguette de Marc Leroy-Calatayud, dans une mise en scène de Pierre Lebon :

Le Centre de Musique Baroque de Versailles annonce le programme de sa saison 2024/2025 portée par les compositeurs qui ont fait la renommée de la France durant le Grand Siècle :

Le Théâtre des Bouffes du Nord à Paris est pris d'assaut par la dynamique du spectacle “On aura tout vu”, dans le cadre du Festival Palazzetto Bru Zane Paris, transportant les spectateurs dans une nuit de ces cafés-concerts parisiens mythiques d’autrefois.

Les deux opéras de poche, l’un onirique de Stravinsky, l’autre satirique de Poulenc, s’offrent en miroir sur la scène niçoise, sous la lecture double d’Olivier Py et dans la direction musicale unifiante de Lucie Leguay.

Le Directeur du TCE Michel Franck présente la dernière saison de son mandat de 15 ans, avant de céder la place à Baptiste Charroing (déjà Directeur de production in loco). La programmation propose plusieurs clins d'œil, à son mandat, à son prédécesseur et à son successeur dans le cadre d'une saison qu'il a voulue, face aux contextes, "la plus rassurante possible" :

Après avoir été créée sur la scène du Théâtre du Capitole de Toulouse en novembre dernier, cette production du Boris Godounov de Modeste Moussorgski mise en scène par Olivier Py et placée sous la direction musicale d’Andris Poga s’installe au Théâtre des Champs-Elysées le temps de cinq représentations.

L’Opéra National du Capitole de Toulouse continue sa saison avec une nouvelle production du Boris Godounov de Moussorgski (première version) dans une mise en scène d’Olivier Py. L’Orchestre résident est dirigé par Andris Poga, et Alexander Roslavets assure le rôle-titre (en remplacement de Matthias Goerne) :

Le Festival Radio France Occitanie Montpellier revisite le mythe de Médée, dans une parodie d’inspiration baroque. Le rire côtoie les larmes, sur des extraits de Rameau, Charpentier, Destouches, Lully, Campra, Marais, dans ce spectacle déjanté mené par le chef Louis-Noël Bestion de Camboulas à la tête de l’Ensemble Les Surprises, avec la mezzo-soprano Lucile Richardot dans le rôle de la magicienne.

La Monnaie de Bruxelles termine son cycle so British avec Henry VIII de Camille Saint-Saëns (peu après une série en deux épisodes sur Elisabeth Tudor avec la “Bastarda” retentissante de Donizetti). Après la fille, c’est au tour du père d’entrer en scène :

La mise en scène de Manon de Massenet par Olivier Py, après sa création à Genève et ses passages à Bordeaux et Paris, débarque au Liceu de Barcelone avec Nadine Sierra dans le rôle-titre et Marc Minkowski à la baguette.

L'Opéra national du Capitole de Toulouse dirigé par Christophe Ghristi invite le public de sa saison prochaine à voyager vers de lointaines contrées lyriques et chorégraphiques, au fil de chefs-d'œuvre du répertoire :

Olivier Py clôt son cycle Poulenc au Théâtre des Champs-Elysées, inauguré avec Dialogues des Carmélites et poursuivi par La Voix humaine (déjà donnée en diptyque, avec Point d'orgue de Thierry Escaich), en s'attaquant à une œuvre moins donnée du compositeur : Les Mamelles de Tirésias en diptyque avec Le Rossignol de Stravinsky.

Le Grand Opéra de Giacomo Meyerbeer vient conclure en apogée la saison 2021-2022 à La Monnaie de Bruxelles grâce à la mise en scène Barocco-Anthracite d’Olivier Py, de cœur avec les chorégraphies de Daniel Izzo (qui assure la reprise de cette production) et sous la direction musicale d'Evelino Pidò.

L’Opéra Grand Avignon présente La Dame de Pique de Tchaïkovski, dans la grande co-production Arsud :​ mise en scène par Olivier Py (qui dirigera cet été sa dernière édition du Festival d’Avignon)

Thierry Escaich nous a présenté en 2020 "Shirine", son nouvel opéra qui a finalement été reporté de deux ans jour pour jour à l'Opéra de Lyon à cause du Covid, alors il nous l'a re-présenté deux ans et deux jours après :

La Monnaie de Bruxelles a eu le Nez creux pour ne pas se casser Le Nez (nom de l'opéra de Chostakovitch figurant au programme de cette prochaine saison très russe) :

Thaïs de Massenet n’avait été mise en scène à La Scala qu’en italien en 1942, l’opus y fait donc ses débuts dans sa langue originelle, dans une nouvelle production signée Olivier Py, incarnée par Marina Rebeka, sous la direction de Lorenzo Viotti :

Chef principal de l'Opéra de Saint-Etienne, Giuseppe Grazioli nous présente, avec ses fonctions, la richesse des activités, des missions et des projets de cette maison :

L’Amour vainqueur, opérette initiatique d’Olivier Py créée au Festival d’Avignon 2019 a poursuivi sa tournée à l’Opéra de Limoges avec son histoire tragique qui se termine bien.

Pour sa première représentation scénique de la saison, Angers Nantes Opéra collabore avec l’Orchestre National des Pays-de-la-Loire et son compositeur en résidence, Michael Jarrell, pour la recréation de l’intense Siegfried nocturne écrit par Olivier Py qui en signe également la mise en scène :