L’Opéra de Tours présente à son tour -après l’Opéra Grand Avignon- le diptyque ravélien réunissant les deux seuls opéras du compositeur : L’Heure Espagnole & L’Enfant et les Sortilèges dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda et sous la baguette de Robert Tuohy.

L’Opéra Grand Avignon réunit en diptyque les deux opéras de Ravel : L’Heure espagnole & L’Enfant et les Sortilèges, mis en scène par Jean-Louis Grinda. Deux visions, défendues par une distribution affirmée, soulignent subtilement la minutie du compositeur, héritée de l’horlogerie.

"Le goût du risque" est en effet le titre donné par le Directeur Richard Brunel à son éditorial annonçant la saison prochaine à l'Opéra national de Lyon : la maison entend ainsi promouvoir, à travers sa programmation, son ouverture sur le monde et sa modernité.

Créée en 2007 et reprise en 2015 à l’Opéra de Stuttgart, cette production de Jenufa de Leos Janacek signée pour la mise en scène par Calixto Bieito peut déstabiliser par sa profonde originalité et surtout sa puissance expressive, voire expressionniste :

Pour sa troisième mise en scène verdienne, Richard Brunel propose un concept à la fois stimulant et opérationnel, porté par une belle distribution :

Au cœur de sa saison placée sous le signe de “l’agitation lyrique”, l’Opéra de Limoges programme une production de l’Enfant et les Sortilèges (Ravel) qui est de nouveau l’occasion de s’adresser à un public de jeunes spectateurs, en usant pour l’occasion de moyens très modernes.

L'Opéra de Limoges désormais "Scène conventionnée d’intérêt national" annonce une saison mixée :

Une salle qui rit à gorge déployée pendant une soirée entière, tel est le défi relevé par l’Opéra de Lyon avec Barbe-Bleue d’Offenbach : le public de la première accueille le spectacle désopilant de Laurent Pelly par des salves d’applaudissements !

Sandrine Anglade met en scène La Ville morte de Korngold à l’Opéra de Limoges. Un spectacle saisissant, de bout en bout :

L’Opéra Confluence d’Avignon offre sa scène aux motifs découpés par l’équipe de Mazzonis di Pralafera à la Violetta de Maria Teresa Leva. Le Germont père d’Ernesto Petti est bien la clé dramatique et lyrique qui ramène et renferme l’héroïne dans les étroites limites des apparences mondaines.

Les célèbres et les talentueux compositeurs côtoieront les grands dramaturges (Shakespeare, Molière, Beaumarchais, Goethe, Racine) dans une saison Limougeaude très dramatique :

Pour ouvrir sa saison lyrique, l’Opéra de Saint-Étienne présente Les Contes d’Hoffmann de Jacques Offenbach, où chacun peut trouver son plaisir, sous la direction très vivante de David Reiland et dans la mise en scène simple et intelligente de Nicola Berloffa.

L’Opéra national du Rhin programme la version de Robert Carsen de la Petite renarde rusée du maître tchèque, Leos Janacek : un beau moment musical dirigé par Antony Hermus !