L'Opéra National de Bordeaux présente la deuxième production "zéro achat" du mandat d'Emmanuel Hondré, son directeur général. Une Bohème qui laisse toute la place à l'émotion, sous la direction du chef Roberto González-Monjas et dans la mise en scène épurée d'Emmanuelle Bastet.

L’Opéra National de Bordeaux, soucieux de proposer à son public une saison équilibrée de visions scéniques différentes pour sa demi-douzaine de productions lyriques, propose de retrouver au Grand-Théâtre "Les Pêcheurs de perles" de Bizet version Yoshi Oïda. Une plongée dans les eaux troubles de l’amitié.

L'Opéra National de Bordeaux, en collaboration avec les opéras de Nice, Toulon, Marseille et Avignon (où la production a été dévoilée le mois dernier), présente une version moderne de Rusalka, opéra composé par le tchèque Antonín Dvořák et s'inspirant du triste mythe de La Petite Sirène.

Les Dialogues des Carmélites, chef-d’œuvre de Poulenc (d’après Bernanos), trouve un bel écrin dans la mise en scène sobre et sensible de Mireille Delunsch et une vibrante interprète principale en Anne-Catherine Gillet.

La mise en scène de Manon de Massenet par Olivier Py, après sa création à Genève et ses passages à Bordeaux et Paris, débarque au Liceu de Barcelone avec Nadine Sierra dans le rôle-titre et Marc Minkowski à la baguette.

Au cœur de sa saison lyrique, le Chœur de l’Opéra National de Bordeaux offre une Petite Messe Solennelle de Rossini proche de sa version originelle : réunissant artistes des chœurs, solistes, pianiste et organiste.

Présentée au Festival Donizetti de Bergame, cette coproduction originelle et critique de La Favorite dans la version de 1840, de fait en langue française, signée Valentina Carrasco pour la mise en scène, marque à Bordeaux d’une pierre nouvelle le parcours artistique de Pene Pati :

La soprano perpignanaise Alexandra Marcellier, nommée cette année dans la Catégorie Révélation Artiste Lyrique aux Victoires de la Musique Classique, revient pour nous sur son parcours notamment marqué par l'effet papillon qu'a provoqué sa Butterfly de Puccini :

À l’initiative de son nouveau Directeur Général, Emmanuel Hondré, l’Opéra National de Bordeaux multiplie les formes de concerts adaptés aux nouveaux publics, en précisant clairement les tranches d’âges ou les types de publics auxquels s’adresse chaque concert.

L’Opéra National de Bordeaux présente sa nouvelle invention lyrique : le Requiem de Mozart mais dans une version mise en scène et « zéro achat ».

La maison bordelaise s’est lancée dans une séquence thématique, autour de William Shakespeare, pour explorer l’influence de cet immense artiste dans l’Histoire de la musique. Parmi les événements de cette semaine, un concert de chœur, autour des différentes adaptations de l’auteur anglais, à l’Opéra.

Après Simon Boccanegra à Parme, Valentina Carrasco et Riccardo Frizza réunissent de nouveau leurs forces pour donner la version critique/originelle (de 1840) de La Favorite chantée en français, pour la 8ème édition du Festival Donizetti dans sa ville natale de Bergame.

L’Opéra National de Bordeaux retrouve son Grand-Théâtre rénové, avec Madame Butterfly de Puccini, incarnée par Karah Son autour d'une distribution permettant de faire quelques belles découvertes, dans une mise en scène signée Yoshi Oïda (venue de Göteborg et Helsinki).

Programmation relevant d’un geste audacieux, la Missa Sacra de Schumann réunit le chœur de l’Opéra de Bordeaux en son Auditorium :

Le concert « Ouverture » inaugure à l'Auditorium la saison de l’Opéra National de Bordeaux, dirigé depuis janvier par Emmanuel Hondré. L’occasion de mettre en avant son orchestre et son chœur, sous la baguette de la cheffe Ariane Matiakh avec le concours des solistes Marie-Laure Garnier et Andrei Kymach.

L’Opéra National de Bordeaux réunit en format Festival les trois opéras de Mozart et da Ponte : un cycle dans une production unifiée par le metteur en scène Ivan Alexandre et les solistes incarnant plusieurs rôles avec continuité entre les opus

Pour coller à la seconde distribution de cette production de L’Elixir d’amour de Donizetti à l’Opéra National de Bordeaux, Adriano Sinivia​ a adapté certaines particularités de sa mise en scène en fonction des caractères et possibilités de plusieurs interprètes :

Inaugurée à Lausanne en 2012 dans le cadre de la réouverture de l’Opéra au terme de longs travaux, cette production bucolique et champêtre de L'Élixir d'amour de Donizetti signée Adriano Sinivia vient enivrer dix ans plus tard l’Opéra National de Bordeaux.

Verdi est à l’honneur à Bordeaux avec les solistes lyriques Yae-Eun Seo et Thomas Dolié, Jean-Baptiste Fonlupt au piano et le Chœur de l’Opéra National de Bordeaux dirigé par Salvatore Caputo.

La distribution vocale et la nouvelle mise en scène signée Stéphane Braunschweig d'Eugène Onéguine (Tchaïkovski) au Théâtre des Champs-Elysées signe l'alliance de la France et de la Russie, à l'image du travail de ce metteur en scène et de cet opéra :