L’Opéra de Genève crée l’évènement en présentant Saint-François d’Assise de Messiaen, sous la baguette affûtée de Jonathan Nott. La mise en scène d’Adel Abdessemed vise l’universalisme, quitte à s’éloigner du propos et de la cohérence de l’œuvre.

Pour marquer le passage à la nouvelle année, le Teatro Real de Madrid illumine ces soirs d’hiver avec La Somnambule de Bellini, offrant ainsi en feux d’artifices les acrobaties vocales de Jessica Pratt et Xabier Anduaga​.

L’Opéra de Paris poursuit les représentations de la Tosca de Puccini dans la mise en scène de Pierre Audi, sous la direction de Paolo Bortolameolli avec Elena Stikhina dans le rôle-titre, Joseph Calleja en Cavaradossi et Roman Burdenko, le cinquième et dernier Scarpia de cette série.

La Tosca de Puccini dans la mise en scène de Pierre Audi à Bastille renouvelle tous les rôles principaux dans cette deuxième partie de reprises. La production comptera au total 5 Scarpia différents, celui tout en nuances d’Ambrogio Maestri venant effectuer un remplacement :

La Tosca de Puccini reprise dans la mise en scène de Pierre Audi poursuit sa série de représentations en ce mois de rentrée à Bastille. La deuxième distribution ne comporte qu'un changement mais de taille : celui de Scarpia incarné par Alexey Markov pour ses débuts à l'Opéra de Paris.

L'Opéra national de Paris sonne la rentrée lyrique avec Tosca de Puccini incarnée par Saioa Hernández triomphale sur le plateau, comme Gustavo Dudamel en fosse, devant un public ébahi comptant aussi le Président de la République, la Ministre de la Culture, le Ministre de l'Éducation Nationale :

Le premier opéra de György Kurtág (né en 1926) vient pour la première fois en France, dans la mise en scène et avec les interprètes de sa création à La Scala de Milan (en 2018), faisant chanter au Palais Garnier la plume française de Beckett :

L'Opéra d'État de Vienne reprend Rigoletto de Verdi dans la mise en scène signée Pierre Audi (en 2015), avec Ludovic Tézier (Rigoletto), Aida Garifullina (Gilda), Francesco Demuro (le Duc de Mantoue) et Marco Armiliato à la baguette.

La représentation de Jenůfa (opéra de Janáček) ce 28 février 2022, la dernière avant la fermeture du Theater an der Wien pour deux années de travaux (les représentations se poursuivant au Kammeroper), marque la fin des 16 années de direction assurée par Roland Geyer, avec aussi un hommage à l’Ukraine :

L’Opéra de Paris a célébré la réouverture de l’Opéra Bastille au public après 15 mois de fermeture par une reprise de la Tosca de Pierre Audi, acclamée debout à l’issue du spectacle.

L'institution lyrique capitale annonce l'annulation de toutes ses représentations publiques jusqu'au 5 avril prochain inclus, à Bastille comme à Garnier, opéras et concerts comme ballets, en raison de toutes les incertitudes sanitaires :

Jonas Kaufmann juste après avoir chanté à Bastille dans la nouvelle production d'Aïda à huis clos et en streaming, revient (en français) sur cette mise en scène, la crise culturelle, annonce une étape australienne vers Tristan, le tout interrogé par Jean-Baptiste Urbain pour France Musique :

L'Opéra de Paris sauve sa nouvelle production d'Aïda de Verdi pour une retransmission en direct depuis la Bastille sans public. La mise en scène de Lotte de Beer est placée dans un musée animé où les tableaux et sculptures prennent vie :

La Suède peut poursuivre ses activités lyriques mais pour seulement 50 spectateurs en salle, alors l'Opéra de Malmö retransmet en direct chacune des représentations de son nouveau Falstaff de Verdi : une mise en scène contemporaine, à l'extrême.

Face à la seconde vague de Coronavirus, les théâtres sont fermés au public mais ce reconfinement en France autorise le travail à se poursuivre. Tour d'horizon des activités maintenues dans les théâtres lyriques avec les spectacles proposés en ligne :

Pour sa dernière saison à la direction de l'Opéra national de Paris, Stéphane Lissner programme de nombreuses reprises : autant par choix pour offrir une rétrospective de son mandat, que contraint par le déficit engendré suite aux grèves

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Le public montpelliérain réserve un excellent accueil à la production de Simon Boccanegra pensée par David Hermann (le spectacle est coproduit avec les Opéras de Karlsruhe, de Flandre et les Théâtres de la Ville de Luxembourg) ainsi qu’à l’ensemble des musiciens ayant œuvré à la réussite de cette première.

Les deux superstars lyriques Jonas Kaufmann et Sonya Yoncheva ayant annulé toutes leurs dates, ils sont remplacés avec un grand succès public par Marcelo Puente et Elena Stikhina, avec l'appui de Luca Salsi en Scarpia et du maestro Dan Ettinger dans la mise en scène et en clair-obscur de Pierre Audi.

Après trois vagues d'annulation par Jonas Kaufmann (qui, au final, ne chante aucune date de Tosca et ne viendra pas à l'Opéra de Paris cette saison) l'autre superstar programmée, la soprano Sonya Yoncheva annule ses deux seules dates prévues :