Le Metropolitan Opera de New York n’a pas lésiné cette saison afin de commémorer le centenaire de la mort de Giacomo Puccini. Après les reprises de La Bohème, Madame Butterfly et Turandot, la prestigieuse maison new-yorkaise clôt le cycle des drames pucciniens avec La Rondine (L'Hirondelle) en direct dans les cinémas à travers le monde.

Le Metropolitan Opera de New York continue de célébrer Puccini (et de commémorer le centenaire de sa mort) avec "La Rondine" (L'Hirondelle), opus moins connu du compositeur italien. La mise en scène du français Nicolas Joël et la direction de l'italienne Speranza Scappucci plonge avec délice dans le monde endiablé de ces héros aux amourettes compliquées :

Le Metropolitan Opera House de New York reprend Nabucco de Verdi dans la mise en scène d’Elijah Moshinsky, retransmise en direct aux cinémas, sous la baguette de Daniele Callegari, avec George Gagnidze, Liudmyla Monastyrska, Maria Barakova, Seokjong Baek et Dmitry Belosselskiy :

Le Metropolitan Opera de New York reprend, pour la première fois depuis vint-cinq ans, l’opéra Fedora d’Umberto Giordano (surtout connu pour son plus célèbre Andrea Chénier) et lui offre les honneurs d’une retransmission en direct, servie par des interprètes de prestige dans une nouvelle mise en scène très élégante de David McVicar :

La reprise de la mise en scène Art Deco du Rigoletto de Verdi dévoilée par Bartlett Sher au dernier Réveillon de nouvelle année, marque les débuts de Speranza Scappucci et Benjamin Bernheim au Metropolitan Opera House de New York :

La précédente production de Rigoletto au Metropolitan Opera House de New York proposait déjà une transposition, dans les années 1960 à Las Vegas. Cette fois, Bartlett Sher opte pour l’Allemagne de Weimar, avant la montée du nazisme :

Après la Chine médiévale de Turandot en ouverture de saison, c’est au tour du Japon de Madame Butterfly d’occuper la scène du Met Live, dans un spectacle onirique marqué par un remplacement au pied levé-doublé d’une prise de rôle pour l’interprète de Pinkerton.

Le Metropolitan Opera House de New York conclut sa saison avec les Dialogues des Carmélites. Sous l’arc de triomphe sonore que bâtit Yannick Nézet-Séguin, la mise en scène quadragénaire de John Dexter s’incarne par les prestations de Karita Mattila, Isabel Leonard, Adrianne Pieczonka, Karen Cargill et Erin Morley :

Carmen succède à la trop rare Adriana Lecouvreur dans le programme de retransmissions en direct du Metropolitan Opera House de New York.

Après la création contemporaine "Marnie", le Metropolitan Opera House de New York offre La Traviata en direct au cinéma. L'occasion également pour Yannick Nézet-Séguin de diriger sa première œuvre en tant que nouveau Directeur musical de l’institution.