Il Vespro della beata Vergine de Claudio Monteverdi résonne dans l’Église Saint-Roch à Paris sous la direction de Philippe Herreweghe à la tête du Chœur et Orchestre du Collegium Vocale Gent rejoint par des solistes-compagnons de route dans une production Philippe Maillard.

Le Grand Dossier Ôlyrix des Festivals de l'été vous présente chaque année les concerts lyriques qui vous attendent à travers la France (et l'Europe) : un grand tour lyrique des réjouissances artistiques (classées par ordre chronologique de début).

Évitant le couvre feu de justesse, Les Arts Florissants poursuivent leur exploration dans le cycle intégral des madrigaux de Gesualdo en interprétant le cinquième livre dans la salle des concerts à la Cité de la Musique.

Sous la houlette de Paul Agnew, Les Arts Florissants poursuivent leur cycle intégral des Madrigaux de Carlo Gesualdo avec un Quatrième Livre dans l’intimité de la salle des concerts à la Cité de la Musique.

Les Magnificat(s) de Jean-Sébastien (1731) et de Carl-Philipp Emanuel (vers 1779) séduisent la Grande Salle de l’Arsenal avec Les Talens Lyriques, des solistes et le Chœur de chambre de Vienne.

La salle des concerts de la Cité de la Musique (Philharmonie de Paris) résonne des madrigaux du troisième livre de Carlo Gesualdo interprétés par six chanteurs des Arts Florissants : Miriam Allan, Hannah Morrison, Lucile Richardot, Sean Clayton, Edward Grint et Paul Agnew, qui assure également la direction.

S'ouvrant sur Gergiev et le Mariinsky pour Iolanta et Parsifal, le Bolshoï pour Mazeppa et Ivan le Terrible et se refermant par un récital Kaufmann : découvrez le détail lyrique de la toujours foisonnante Philharmonie de Paris pour la saison 2019/2020.

Paul Agnew et cinq solistes des Arts Florissants offrent d’inspirants Madrigaux de Gesualdo dans l’écrin boisé de l’amphithéâtre de la Philharmonie de Paris. Un beau moment renaissant et a cappella.

Paul Agnew et les Arts Florissants emmènent une nouvelle fois le public ambrunois à la découverte des Madrigaux de Monteverdi, avec ses superbes et derniers Livres de Madrigaux VII et VIII, composés et publiés à Venise.

Ah... l'été ! Cette magnifique saison pendant laquelle on aspire à s'évader. Que vous soyez plutôt mer ou plutôt montagne, que vous préfériez le nord, le sud, l'est ou l'ouest, ou que vous restiez chez vous, un festival de musique lyrique vous attend. Ôlyrix vous présente son guide des éditions 2017, qui se prolongeront jusqu'en octobre et laissent présager un bel été indien.

Après la création à Caen et une tournée passant par Versailles, Vienne, Katowice et Madrid, l’Orfeo de Monteverdi s’installe à la Philharmonie de Paris pour une soirée unique. Cyril Auvity s’impose comme un Orphée de premier ordre, ténor somptueux véritablement digne du chantre mythique. La distribution autour de lui est homogène, constituée de jolies voix naturelles.

Cyril Auvity apporte à l'Orphée de Monteverdi toute son Humanité radieuse, le bonheur incarné, puis l'effondrement rejaillissant en espérance. Les musiciens montrent combien ils sont habitués à jouer ensemble avec Les Arts Florissants, offrant de parfaits équilibres sonores, depuis les duos vocaux et instrumentaux jusqu'aux tutti. Une sobre scénographie renforce l'expressivité tragique et signifiante remontant aux dimensions originelles de l'Opéra.