Troisième série de représentations dans la mise en scène signée Paul-Émile Fourny ​du célèbre opéra de Bizet, transposé dans l’univers des séries policières, accompagné de l’Orchestre de l’Opéra de Massy.

L'Opéra de Tours sauve pour une captation son Don Pasquale de Donizetti, la première production lyrique du nouveau Directeur de la maison, Laurent Campellone.

Face à la seconde vague de Coronavirus, les théâtres sont fermés au public mais ce reconfinement en France autorise le travail à se poursuivre. Tour d'horizon des activités maintenues dans les théâtres lyriques avec les spectacles proposés en ligne :

Pour terminer son Festival, les Concerts d’automne à Tours donnent carte blanche au chanteur et chef d’orchestre François Bazola. Avec son Ensemble Consonance, ils bousculent un peu les habitudes par un programme mêlant œuvres baroques et interprétation jazz. Un concert qui ne manque pas de surprendre !

Ce rendez-vous musical dirigé par Alessandro di Profio et ayant pour marraine Natalie Dessay, fêtera bel et bien sa 5ème édition du 9 au 20 octobre 2020. L'occasion de proposer deux grands week-ends riches en baroques, voyages, rencontres :

Pour conclure le 4ème anniversaire des Concerts d’automne en la belle et bonne ville de Tours, le chef d’œuvre de Purcell triomphe grâce à François Bazola et à son Ensemble Consonance.

Le Festival Concerts d’Automne à Tours, ayant Natalie Dessay en marraine et Alessandro Di Profio en Directeur artistique, annonce sa quatrième édition, du 11 au 26 octobre 2019 : un voyage baroque et classique, germanique et italien.

Pour clôturer sa saison lyrique 2018/2019, l’Opéra de Massy reprend Rigoletto de Verdi mis en scène par Jean-Louis Grinda avec Stefano Meo, Julien Dran et Amélie Robins dans les rôles principaux.

En ce 8 mars, journée dédiée aux droits des femmes, l’Opéra de Tours propose une mise en scène féministe de La Flûte enchantée, réalisée par Bérénice Collet. Une lecture de l’œuvre discutable mais au service d’un spectacle cohérent, servi musicalement par une équipe pleine de talent.

Pour sa première représentation à l'Opéra national de Paris, Jephtha, oratorio de Haendel marqué par la guerre et le sacrifice d'une âme pure est donné dans la vision épurée, fouillée et particulièrement sombre de Claus Guth (salué par quelques huées lors des saluts) et défendu par des interprètes (dont trois grands artistes effectuant leurs débuts à l'Opéra de Paris) ne présentant chacun qu'un seul défaut notable.