Le Festival d'Aix-en-Provence annonce le programme de son édition 2020 qui se tiendra du 30 juin au 18 juillet. Pierre Audi qui dirigeait sa première édition l'année dernière passe la seconde toujours vers la modernité artistique :

Ivan Fischer dirige, met en scène et signe une musique nouvelle pour la fin alternative d'Orfeo, premier chef-d'œuvre du genre lyrique, composé début XVIIe siècle par Monteverdi :

Nouvelles directions pour le Grand Théâtre de Genève : après le récent retour dans son adresse historique, nouvelle adresse web, nouvelle identité visuelle, nouveau nom ("grand theatre geneve" en minuscule en signe d’accessibilité, dixit), nouveau directeur (Aviel Cahn succède à Tobias Richter) et nouvelle programmation, complète :

L'Orfeo de Monteverdi -premier chef-d'œuvre du genre opéra- triomphe au Théâtre des Champs-Élysées avec une version de haute-couture, aussi bien dans les costumes coupés par des griffes habituées au luxe, la mise en espace que le plateau vocal :

1770-2020 : Château de Versailles Spectacles fête les 250 ans de l’Opéra Royal avec pas moins de 10 opéras mis en scène, 10 opéras en version de concert, et des dizaines de soirées avec des artistes renommés. Tous les détails lyriques :

Revivez les moments forts de la saison 2017/2018 en Île-de-France à travers notre récapitulatif :

​La 38ème édition du Festival d’Ambronay s’ouvre brillamment avec l’Orfeo de Monteverdi, par la Cappella Mediterranea et le Chœur de chambre de Namur, dirigés par leur chef, l’excellent Leonardo Garcia Alarcon, avec des solistes de grande qualité.

Pour fêter dignement le 450ème anniversaire de la naissance de Claudio Monteverdi, le Festival de Saint-Denis offre un bel Orfeo, porté par de jeunes chanteurs talentueux et prometteurs, sous la direction énergique et inventive de Leonardo Garcìa Alarcòn et dans une mise en espace astucieuse de Jean Bellorini !

Après la création à Caen et une tournée passant par Versailles, Vienne, Katowice et Madrid, l’Orfeo de Monteverdi s’installe à la Philharmonie de Paris pour une soirée unique. Cyril Auvity s’impose comme un Orphée de premier ordre, ténor somptueux véritablement digne du chantre mythique. La distribution autour de lui est homogène, constituée de jolies voix naturelles.

Cyril Auvity apporte à l'Orphée de Monteverdi toute son Humanité radieuse, le bonheur incarné, puis l'effondrement rejaillissant en espérance. Les musiciens montrent combien ils sont habitués à jouer ensemble avec Les Arts Florissants, offrant de parfaits équilibres sonores, depuis les duos vocaux et instrumentaux jusqu'aux tutti. Une sobre scénographie renforce l'expressivité tragique et signifiante remontant aux dimensions originelles de l'Opéra.

​Le Théâtre des Bouffes du Nord, patiné par le siècle écoulé, est propre à faire surgir des revenants. Ce soir se jouait la fable tragique d’Orphée, adaptée de l’œuvre de Monteverdi dont on fête cette année les 450 ans.

La mise en scène esthétisante de Sasha Waltz de l’Orfeo de Monteverdi, premier opéra dont la partition nous soit parvenue, donne autant à voir qu’à entendre. Le public de l’Opéra de Lille a notamment acclamé la performance impressionnante de Georg Nigl dans le rôle-titre.

Mettant en avant les artistes de l’Académie de l’Opéra de Paris, l’Orfeo de Monteverdi mis en scène par Julie Berès est l’occasion de découvrir de jeunes artistes au grand talent.