Les Festival des Heures du Collège des Bernardins se clôt avec un Concert de Complies réunissant deux œuvres aux teintes méditatives : Via Crucis de Liszt et le Requiem Fauré défendues par la grande finesse de l’Ensemble Aedes sous la direction de Mathieu Romano.

Hommage est rendu à Mahler chambriste, pour la quarantième édition du Festival Printemps des Arts de Monte-Carlo, avec son Quatuor pour piano et cordes ainsi que “Le Chant de la Terre” atteignant une osmose entre écriture vocale et instrumentale, sous la direction expressionniste de Gregor Mayrhofer et la voix expressive de Lucile Richardot.

Dans le cadre de son Festival, l’Opéra de Lyon propose le trop rare opéra-western « La Fanciulla del West » de Puccini, dans une production émouvante signée Tatjana Gürbaca :

L’Auditorium de Bordeaux accueille le ténor Pene Pati le temps d’un récital accompagné par l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine, sous la baguette d’Emmanuel Villaume. Au programme, des airs d’opéra italiens et français de Donizetti, Verdi, Gounod et Massenet, mais aussi la Symphonie n°4 « Italienne » de Felix Mendelssohn.

Le Directeur du TCE Michel Franck présente la dernière saison de son mandat de 15 ans, avant de céder la place à Baptiste Charroing (déjà Directeur de production in loco). La programmation propose plusieurs clins d'œil, à son mandat, à son prédécesseur et à son successeur dans le cadre d'une saison qu'il a voulue, face aux contextes, "la plus rassurante possible" :

Insula Orchestra, fondé en 2012 par Laurence Equilbey et en résidence depuis 2017 à La Seine Musicale de Boulogne-Billancourt, propose chaque saison des concerts de musique sacrée, avec accentus, ainsi que des chefs et ensembles invités. Panorama des rendez-vous de cette saison :

L’Opéra de Rouen présente le premier opera seria de Rossini : "Tancredi", dans la mise en scène de Pierre-Emmanuel Rousseau et sous la baguette de George Petrou :

L’Opéra et l’Orchestre national de Lille proposent Tristan et Isolde de Wagner dans la version scénique inhabituelle de Tiago Rodrigues, portée par la direction musicale de Cornelius Meister.

L’Opéra de Paris reprend le "Simon Boccanegra" de Giuseppe Verdi, dans la mise en scène de Calixto Bieito et l’incarnation de Ludovic Tézier

Les représentations de L'Ange Exterminateur de Tomas Adès se poursuivent et se concluent à l’Opéra de Paris pour sa création française, désormais sous la direction de Robert Houssart, dans la mise en scène de Calixto Bieito, avec un casting virevoltant :