Dans le cycle de récitals des Lundis musicaux du Théâtre de l’Athénée - Louis Jouvet, Fleur Barron et Julius Drake entraînent le public dans un voyage autour du monde, dans les berceaux de divers peuples et langues.

La nouvelle saison de l’Opéra d’État de Vienne va de Mozart à Ligeti, avec de nouvelles mises en scène signées Tatjana Gürbaca (Le Triptyque de Puccini), Jan Lauwers (Le Grand Macabre de Ligeti), Claus Guth (Turandot), Jossi Wieler et Sergio Morabito (Lohengrin), Barrie Kosky (Così fan tutte) et Damiano Michieletto (Animal Farm d’Alexander Raskatov) notamment sous la direction de Philippe Jordan, Pablo Heras-Casado, Franz Welser-Möst et Simone Young :

La série de récitals “Vocalissimo” dans la capitale belge met à l’honneur des chants slaves de paix, portés par la voix d’Olga Peretyatko et le clavier de Matthias Samuil.

L’Opéra Berlioz (au Corum de Montpellier) donne le Requiem de Verdi, dirigé par le chef principal Michael Schønwandt avec l’Orchestre et le Chœur maisons renforcé par le Chœur Opera Vlaanderen, les parties solistes par Katherine Broderick (soprano), Eugénie Joneau (mezzo-soprano), Ilker Arcayürek (ténor) et Sam Carl (baryton-basse).

Féerie, drôlerie et charme mélodique forment les socles de Cendrillon de Massenet à l’Opéra de Limoges :

Créée sur la scène de l’Opéra de Nantes en 1988, “La Vieille maison”, conte musical de Marcel Landowski (livret et musique) revient 35 ans après en cette même maison, dans une mise en scène d’Éric Chevalier pour Angers Nantes Opéra.

Le Chanteur de Mexico, grand succès d'opérette de Francis Lopez (créé en 1951 au Châtelet à Paris), avec son fameux air immortalisé par Luis Mariano revient sur la Cannebière :

Dans son interview accordée à Ôlyrix, Caroline Sonrier, Directrice de l’Opéra de Lille, présente la saison centenaire de cette institution, et y glisse trois informations importantes :

La cheffe estonienne Anu Tali fait ses débuts à la tête de l’Orchestre National Bordeaux Aquitaine avec un concert symphonique mettant à l’honneur la création contemporaine de son compatriote Erkki-Sven Tüür, le répertoire post-romantique (8ème Symphonie de Dvořák) et le chant de Marie-Nicole Lemieux (avec le Poème de l’amour et de la mer d’Ernest Chausson).

Mis en espace par Mathilde Étienne, le chef d’œuvre de Monteverdi brille une fois de plus par son éminente théâtralité, avec une distribution menée par Emiliano Gonzalez Toro et l’Ensemble I Gemelli :