L'Opéra d'État de Bavière (Bayerische Staatsoper) à Munich place sa nouvelle saison sous les signes intemporels et très actuels de l'amour et de la guerre. Les nouvelles productions traversent l'histoire de l'opéra en passant par de grands classiques le tout notamment marqué par Guerre et Paix de Prokofiev, la confrontation de Didon et Énée (Purcell) avec Erwartung (Schönberg), l'Hamlet de Brett Dean, ainsi que deux œuvres du compositeur japonais contemporain Toshio Hosokawa.

Le Royaume-Uni a déjà commencé son déconfinement et les activités culturelles doivent reprendre dès le mois prochain : l'occasion de sauver une fin de saison artistique.

Pour son second récital à l’Instant Lyrique de l'Éléphant Paname, Annick Massis et son complice de toujours le pianiste Antoine Palloc abordent un répertoire lyrique italien, notamment des airs d’opéras de Giuseppe Verdi.

La jeune mezzo-soprano Éléonore Pancrazi vit une saison intense qui confirme un début de carrière prometteur. Entre prises de grands rôles et débuts dans des maisons d’opéra renommées, elle défend sa nomination comme Révélation lyrique des Victoires de la musique classique 2019.

Le Capitole présente Lucrezia Borgia de Donizetti, avec Annick Massis dans le rôle-titre, dans une mise en scène d’Emilio Sagi, un ravissement d’effets de lumières et d’ombres.

Le Festival de Salzbourg est une institution, non seulement parmi les événements lyriques estivaux, mais de la musique et de la culture en général. Le mythique lieu de naissance de Mozart présente des chiffres et des noms vertigineux : 195 représentations en 41 jours pour sa 97ème édition, du 21 juillet au 30 août 2017, avec les plus grandes vedettes.

Chaque année à l'été, les meilleurs festivals s'égrènent dans les plus somptueux paysages de France et d'Europe. Pour vous y repérer, nous vous avons préparé une sélection.

Pour 2017/2018, l'Opéra d’État de Bavière (Bayerische Staatsoper à Munich) proposera sept nouvelles productions dont un Parsifal de Wagner étincelant de stars, des mises en scène assurées de provoquer certains remous, des œuvres méconnues aussi bien que des grands succès.

Le ténor arménien Gegam Grigorian est mort mercredi 23 mars 2016 en Arménie, à l’âge de 65 ans.