La Fondation Louis Vuitton (Paris) propose, jusqu'au 2 avril prochain, une rétrospective du peintre Mark Rothko. En écho à cette exposition, le compositeur germano-britannique Max Richter a composé une pièce symphonique, "Unity Fields I", interprétée par l'Ensemble Le Balcon dans l'auditorium de la Fondation. Deux autres pièces, "The Waves : Tuesday" et "Exiles", en ouverture et conclusion du concert dirigé par Matthew Lynch, viennent confirmer la capacité de Max Richter à transmettre les émotions profondes.

Le Prix Liliane Bettencourt pour le chant choral 2023 est décerné à La Maîtrise Sainte-Philomène de Haguenau en Alsace pour ses "qualités musicales" et sa démarche "qui permet aux enfants de découvrir des répertoires variés et d’en appréhender les particularités vocales et musicales". Le directeur musical Nicolas Wittner nous en présente l'histoire et le fonctionnement, ses engagements et ses projets :

Le Festival de Musique de Besançon se poursuit, à la Cathédrale Saint-Jean, avec le concert de l’Ensemble vocal Tenebrae dirigé par Nigel Short : un voyage sacré, un sacré voyage.

En attendant la fin des travaux de sa salle de spectacle nommée “La Cité Bleue”, la Cité Universitaire de Genève devient un lieu de concert en soi et même une église romaine : Leonardo García Alarcón​ conduit une immersion spatiale poly-sensorielle dans la musique religieuse polychorale romaine baroque, avec le Chœur de Chambre de Namur et La Cappella Mediterranea :

Coproduction de l’Opéra de Rouen Normandie et d’accentus, cette soirée consacrée à la musique religieuse à Rome durant l’époque baroque ouvre la saison musicale 2022/23 de l’Auditorium Michel Laclotte du Musée du Louvre qui apparaît riche et fort diversifiée dans sa programmation à venir.

Dans le cadre du Festival d’art sacré de Saint-Malo et au cœur de sa Cathédrale Saint-Vincent, le chœur de chambre Les Métaboles dirigé par Léo Warynski offre un concert intitulé « Splendeurs romaines » :

Le chœur Tenebrae est dirigé par Nigel Short à travers des Processions dans la Basilique de Saint-Denis. Le voyage musical et inspiré étire le répertoire entre 1638 et 2005, comme il étire les cervicales du public toujours laissé littéralement "de côté" :