The Rape of Lucretia de Benjamin Britten est présenté pour la première fois au Théâtre du Capitole-Opéra National de Toulouse, sous la baguette de Marius Stieghorst avec une mise en scène signée Anne Delbée et une distribution haute en couleurs vocales, comptant Agnieszka Rehlis, Duncan Rock, Cyrille Dubois, Marie-Laure Garnier, Dominic Barberi, Céline Laborie, Philippe-Nicolas Martin et Juliette Mars.

Le Théâtre du Capitole annonce sa première saison en tant qu'Opéra National en Région, poursuivant dans la dynamique qui l'a mené à l'obtention de ce label, mariant nouveautés et répertoire :

Notre série d'articles-plongées en hommage aux spectacles annulés durant le premier confinement s'était notamment intéressée à Jenufa de Janacek au Théâtre du Capitole. Le reconfinement entraîne l'annulation d'une autre nouvelle production très attendue à Toulouse, que ses artistes nous narrent également : Le Viol de Lucrèce (Britten)

Le Théâtre du Capitole de Toulouse annonce une saison rythmée par 11 "chefs-d'œuvre", français, anglais, italiens, allemand et russe :

C’est pour la première fois que l’Agrippina de Haendel complote sur la scène du Metropolitan Opera, devenant ainsi l’œuvre la plus ancienne (composée il y a un peu plus de 300 ans) à être interprétée dans la salle new-yorkaise. La production déjà bien rôdée de Sir David McVicar lui apporte une pétillante modernité portée par une distribution de haut vol.

Après deux décennies d'absence, le drame maritime composé en 1951 par Britten revient au Royal Opera House-Covent Garden (en coproduction avec Madrid et Rome), dans la mise en scène de Deborah Warner :

​Le Théâtre des Champs-Elysées réunit les « deux amours » de Douglas Boyd, l'Orchestre de chambre de Paris dont il est le chef musical et le Garsington Opera dont il est chef artistique, dans une interprétation des Noces de Figaro de Mozart. La version concert permet de recentrer l'attention sur l'extraordinaire musique de Mozart et d'en apprécier toute l'universalité.