Fidèle au rendez-vous du Festival de la Vézère depuis 1998, la troupe itinérante Diva Opera est à nouveau présente en Corrèze au cœur de cet été 2022, venant y présenter des versions toujours fort appréciées de deux opéras majeurs du répertoire lyrique.

Le Grand Dossier Ôlyrix des Festivals de l'été vous présente chaque année les concerts lyriques qui vous attendent à travers la France (et l'Europe) : un grand tour lyrique des réjouissances artistiques (classées par ordre chronologique de début).

Pour son second rendez-vous d'opéra de l’été, le Festival de la Vézère programme un indémodable du genre, Carmen de Bizet. Une version de chambre, sans l’orchestration classique, mais avec la montée en température attendue à l’écoute (et à la vue) d’une telle œuvre :

L’Opéra de Lyon accueille la très attendue création française de la troisième œuvre lyrique du compositeur George Benjamin et du librettiste Martin Crimp, Lessons in Love and Violence, les luttes, violences​ et leçons de pouvoir d’un jeune prince témoin malgré lui des choix malavisés de ses proches.

Ôlyrix vous propose une sélection des productions marquantes de la saison 2017/2018 en régions parmi les 750 comptes-rendus rédigés cette année par l'équipe de rédaction :

Sous la baguette enflammée de Stefano Montanari, la musique de Rossini crépite dans une mise en scène alliant finesse et ridicule, interprétée avec ardeur par des musiciens tous chaleureusement salués par le public lyonnais.

Le public semble avoir hésité à découvrir Viva la Mamma, opus méconnu de Donizetti : en témoignent les sièges laissés vacants dans la salle brune de l’Opéra de Lyon. Les spectateurs présents auront en tout cas assisté à l’une des productions les plus drôles de la saison, emmenée par l’excellent Laurent Naouri.

Dans la fosse de l’Opéra Royal de Versailles, les douze musiciens des Nouveaux Caractères sont rassemblés autour de Sébastien d’Hérin, dont la battue comme le toucher sur le clavecin insufflent une énergie visiblement contagieuse : treize en fosse, cela ne porte pas malheur ! Il donne aux instrumentistes de talent qui l’entourent la souplesse et la liberté qui conviennent à l’écriture tardive de Monteverdi, toujours au service de la dramaturgie.

Sous la direction musicale de Martyn Brabbins et dans un univers de Grégoire Pont, l’Opéra de Lyon invite à la découverte, ou à la redécouverte, de l’opéra grâce à la fantastique œuvre de Maurice Ravel.