En cette fin d’année, revivez les moments forts de la saison 2017/2018 de l’Opéra de Paris à travers nos comptes-rendus exclusifs :

Sous les ors du Palais Garnier, Damiano Michieletto propose une vision douce-amère de Don Pasquale (Donizetti), notamment portée par la Norina de Nadine Sierra :

Charles Castronovo et Plácido Domingo rejoignent Marina Rebeka pour rejouer le destin tragique de Violetta Valéry sur la scène de l'Opéra Bastille.

L’Opéra Bastille affiche en ce mois de février une reprise de La Traviata de Giuseppe Verdi qui, malgré certains passages bouleversants, peine à émouvoir et n’emporte pas pleinement l’adhésion.

Pelléas et Mélisande en théâtre nô japonais par Bob Wilson revient à Bastille, déployant sa poésie à travers la scène et la fosse :

Così fan tutte mis en scène et chorégraphié par Anne Teresa De Keersmaeker revient à Garnier, où le spectacle a été créé au début de l'année, et fait se mouvoir les arts en harmonie : chaque personnage de l'opéra est incarné par un duo de chanteur et de danseur. Une qualité d'interprétation et une vision moderne dans la digne lignée d'une maison lyrique et de ballet telle que l'Opéra national de Paris.

Première mondiale inaugurant le Cycle de commandes consacré par l'Opéra de Paris aux grands romans de la littérature française, Trompe-la-mort de Luca Francesconi permet à des voix de montrer toute la palette de leur talent, sur scène comme dans la fosse.

Dans ce Cosi fan tutte mis en scène par la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker, chaque personnage est joué par un chanteur et un danseur. Les mouvements nouent des liens éloquents avec les voix colorées et la musique impeccable, dans une Trinité signifiante.

Dans ce Cosi fan tutte mis en scène par la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker, chaque personnage est joué par un chanteur et un danseur. Les mouvements nouent des liens éloquents avec les voix colorées et la musique impeccable, dans une Trinité signifiante.