Après un Tannhaüser contrasté au Festspielhaus de Bayreuth, Valery Gergiev revient à la Philharmonie de Paris, dans une version concert de Parsifal à la tête de "son" orchestre du Mariinsky et un cast exclusivement russe.

S'ouvrant sur Gergiev et le Mariinsky pour Iolanta et Parsifal, le Bolshoï pour Mazeppa et Ivan le Terrible et se refermant par un récital Kaufmann : découvrez le détail lyrique de la toujours foisonnante Philharmonie de Paris pour la saison 2019/2020.

Au lendemain de Siegfried, 6 mois après L'Or du Rhin et La Walkyrie, la Philharmonie de Paris met un point d'orgue triomphal au Ring de Wagner :

Après le succès retentissant des deux premiers volets de L’Anneau des Nibelungen au printemps dernier, Valery Gergiev et l’Orchestre du Mariinsky reviennent faire résonner la Grande Salle Pierre Boulez avec les deux derniers drames musicaux de la Tétralogie de Wagner, en version de concert. Cette fois-ci, c’est bien pour mener l’œuvre à son aboutissement, d'abord avec Siegfried, journée qui précède et annonce Le Crépuscule des dieux.

Revivez les moments forts de la saison 2017/2018 en Île-de-France à travers notre récapitulatif :

Un Wotan à la limite de l’aphonie vient malheureusement déséquilibrer la représentation dominée par la lumineuse Sieglinde d’Elena Stikhina.

Cette présentation très attendue de L’Or du Rhin, malgré de nombreux aspects positifs, ne scintille pas de tous ses feux à la Philharmonie de Paris.