Fidèle à son illustre tradition de récitals (intitulés “Vocalissimo), La Monnaie de Bruxelles propose une soirée romantique ou post-romantique, entre touche et voix, grâce à l'harmonieuse collaboration entre la soprano néerlandaise Lenneke Ruiten et le pianiste Thom Janssen.

L'Opéra d'État de Vienne mêle à nouveau classicisme et modernité avec cette production des Noces de Figaro de Mozart, dans la mise en scène inventive de Barrie Kosky et sous la direction musicale de Philippe Jordan :

Sous la direction de Sébastien Daucé, six chanteuses de l’Ensemble Correspondances accompagnées de quatre instruments (l’orgue ou le virginal, la viole de gambe, le théorbe et la harpe) offrent, dans les Foyers du théâtre de Caen, un programme autour de la musique ayant résonné au long du XVIIe siècle.

Dans le cadre des Lundis Musicaux de l’Athénée, le ténor Mark Padmore et le pianiste Julius Drake (tous deux londonniens) proposent un récital de Lieder, de Songs et de Mélodies mettant notamment à l’honneur deux compositrices d’importance, Clara Schumann et Rebecca Clarke.

L'Opéra de Philadelphie présente ce printemps une production de Madame Butterfly (Puccini) par Ethan Heard, nous plongeant dans une double expérience nippo-américaine, où représentations et fantasmes se croisent pour dire la tragique histoire d'amour portée par la force discrète mais sûre de Karen Chia-ling Ho en Cio-Cio San.

Le Grand Théâtre d’Angers présente Tosca de Puccini dans la production de Silvia Paoli, sous la direction de Clelia Cafiero, avant sa diffusion sur grands écrans dans les Pays de la Loire et en Bretagne le 8 juin.

L’Opéra d’État de Vienne propose le Lohengrin de Wagner dans la mise en scène de Jossi Wieler et Sergio Morabito, bousculant les habitudes et magnifiant la fosse sous la direction de Christian Thielemann.

L’Ensemble La Néréide ouvre en avant-première le Festival de Saint-Denis à l'église Saint-Denys-de-l’Estrée, en interprétant des madrigaux de Luzzasco Luzzaschi composés pour le trio des « Dames de Ferrare » à la fin du XVIème siècle :

La salle est pleine à craquer pour La Walkyrie de Wagner en version concertante dirigée par Yannick Nézet-Séguin avec l’Orchestre Philharmonique de Rotterdam et l’une des plus impressionnantes distributions actuelles, dominée par Elza van den Heever, Tamara Wilson et Stanislas de Barbeyrac.

Fidèle à sa tradition de redécouvertes du répertoire français, l’Opéra de Saint-Etienne présente à son public une production du Tribut de Zamora, ultime opéra de Gounod, dirigée par Hervé Niquet :