Paolo Zanzu et l'Ensemble baroque Le Stagioni proposent un pot-pourri Haendel, vagabondant parmi la première moitié du XVIIIe siècle, les pièces instrumentales et vocales en italien et en anglais ainsi que les passions contrastées avec quatre solistes vocaux :

Cette 5ème édition du Concours International de chant Georges Enesco récompense justement deux jeunes barytons, l’un français Florent Karrer, l’autre roumain Sebastian Gheorghe Balaj :

Écrin idéal, la Salle Cortot accueille Lea Desandre, mezzo-soprano, et Thomas Dunford, luthiste, pour un concert d’œuvres de compositeurs italiens du premier baroque dans une production Philippe Maillard.

Dans une ambiance délicieuse, le Printemps de la Mélodie française organisé par l'Académie Francis Poulenc transforme la Salle Cortot en un salon musical du XIXe siècle.

Douze ans après la sortie de leur album remarqué — et récompensé par le label Diapason d’Or —, Marc Mauillon, accompagné de Pierre Hamon et Biffi Vivabiancaluna, rechante L’Amoureus tourment du grand poète et compositeur français du XIVe siècle Guillaume de Machaut, et réenchante la salle Cortot.

L’École Normale de Musique de Paris, qui a derrière elle une longue tradition de cours publics, accueille dans la Salle Cortot le grand ténor franco-mexicain. Les deux heures passées en sa compagnie sont à la fois jubilatoires et instructives, même si le maître — un brin cabotin — donne une leçon d’interprétation plus que de chant.

À la salle Cortot, Alexis Kossenko et Les Ambassadeurs ont offert au public un florilège de pièces instrumentales et chantées représentatives du baroque virtuose. On le croyait emphatique, fastueux, ornemental : on le découvre doux, délicat et sensuel, à mi-chemin entre « art rhétorique » et « art instinctif ».

Les Productions Philippe Maillard ont dévoilé leur programme pour la saison 2017/2018. Depuis cinq lieux emblématiques (la Salle Gaveau, l'Oratoire du Louvre, le Théâtre Grévin, la Salle Cortot et l'église Saint-Roch), 63 concerts seront proposés au public et liés par une même intention : le partage d'émotions. Si une grande partie de ces soirées seront dédiées au baroque, toutes les époques et tous les styles seront néanmoins représentés.

En accueillant l'Ensemble La Chimera et les deux chanteuses argentines Barbara Kusa et Mariana Rewerski, la salle Cortot et les productions de concerts Philippe Maillard ont pris des allures voyageuses mercredi soir. Plongé au cœur du folklore de l'Amérique latine, le programme entremêlait des chants baroques du peuple Guarani aux chansons populaires argentines plus récentes, le tout interprété avec une exaltation et une énergie étonnantes.

Ce soir du 24 janvier, la salle Cortot s’est transformée en théâtre londonien de la fin du XVIIe siècle, accueillant l’ensemble Les Ambassadeurs dirigé par Alexis Kossenko, ainsi que le ténor Jeffrey Thompson dans un programme de pièces de Henry Purcell produit par Philippe Maillard.

Jusqu’au 17 décembre, la salle Cortot accueille dans son écrin boisé un Bal masqué surréaliste. Ce concert spectaculaire, ou spectacle déconcertant, est construit comme un cadavre exquis embaumé avec simplicité et brio par les jeunes interprètes du Centre de Musique de Chambre de Paris.