Le Walden Festival : la création au rendez-vous
L’événement, présenté sur un week-end, propose une déambulation entre les époques, horizons et styles musicaux qu’il prend soin de confondre au sein d’une programmation éclectique et rafraîchissante. La soirée du samedi 15 se déroulera entièrement sur la scène principale dans les jardins du musée, sur laquelle se succèderont l’Orchestre philharmonique de Bruxelles dirigé par Tom de Cock avec Lorenzo Gatto au violon dans un programme des œuvres de Philip Glass, John Adams et David Lang, le trio Tania Giannouli composé d’elle-même au piano, Kyriakos Tapakis au oud et Jean-Paul Estiévenart à la trompette, et le pianiste Joep Beving dans ses propres créations mêlant musique classique et électro.
Les festivités du dimanche débuteront dès midi avec la Petite Suite de Debussy et la Symphonie Jupiter de Mozart par le Jeune Philharmonique de Bruxelles sous la direction de Wouter Versavel. L’après-midi se poursuivra avec Lisa Willems (soprano) et lise Vandersmissen (harpe) dans un programme “sensible et lunaire”, le pianiste Pavel Kolesnikov dans un récital des Impromptus de Schubert, le guitariste Julien Tassin dans ses propres créations ou encore les sonorités jazz du quintet Aleph. À l’affiche également, du tango et jazz par Emile Parisien au saxophone et Vincent Peirani à l’accordéon, un concert familial par Myrddin De Cauter (guitare) et sa fille Imre de Cauter au violoncelle, de la musique ancienne à la voix par le Collegium Vocale de Gand dirigé par Philippe Herreweghe, et l’auteure compositrice et interprète Meskerem Mees. Enfin, le festival se prolongera dans la soirée avec le duo d’accordéonistes Bert Leemans et Guus Herremans, les frères Joubran (Adnan, Samir, Wissam) en trio de oud et, en guise de clôture, Mari Kalkun à la voix et au piano dans une musique folk et jazz chantée en estonien.
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