Présentation de la production
Un portrait de solidarité féminine envoûtant, Heidi Waleson, Wall Street Journal, NYC
La partition est hypnotique, entrelaçant les voix des six femmes en grappes dissonantes, tissus de chuchotements, accords stridents et airs inspirés de chansons folkloriques. (…) Cet opéra est compact dans sa structure narrative et pourtant exhaustif dans ses segments les plus affectifs, paraissant à la fois pertinent et hors du temps, Charles Downey, The Classical Review
La beauté de Svadba (…) réside dans son humanité spontanée, désinhibée, souvent exubérante. (…) [C’est] un phénomène low-tech, émotionnellement direct, (…) et si on pense combien il est rare de rencontrer une chose pareille, je ne me sens pas seulement heureux, mais chanceux de l’avoir vu, Patrick Stearns, www.philly.com
Cette œuvre captivante n’est à rater sous aucun prétexte, Paula Citron, Classical FM
Les célébrations prénuptiales sont rarement d’une beauté aussi envoûtante que dans Svadba, le nouvel opéra a cappella d’Ana Sokolovic, qui part du monde ordinaire pour aller vers un royaume enchanté (…) et explore de manière fascinante l’intersection entre mots, musique et sons articulés. (…) A la fin, on a le sentiment d’avoir épié en cachette une sorte de rite de passage fantastique, tout au long de la nuit, Jon Kaplan, Now Toronto
Demain, Milica se marie. Dans la nuit qui précède la cérémonie, elle chante et joue avec ses amies. On danse, on se dispute, on se moque des garçons, on se baigne, on s’habille, on se dit adieu. Et tout au long de cet énergique enterrement de vie de jeune fille, on entonne des chants qui ont la spontanéité rauque, le charme fruste de couplets folkloriques transfigurés par l’écriture imaginative d’une compositrice serbe établie au Canada : Ana Sokolović. Svadba (titre qui signifie « mariage ») se présente comme une fête de musique et de théâtre, à la fois émouvante et ludique. Après un triomphe aux Etats-Unis, cet opéra de chambre pour six voix de femmes a cappella est donné au Festival d’Aix dans une nouvelle production qui est aussi une première européenne en version scénique. Vive la mariée !