Chut !
C'est ce qui en fait l'un des opéras les plus réjouissants du répertoire : l'action ne s'arrête jamais, faite de quiproquos et d'entourloupes, rythmée par des airs entraînants qui s'enchaînent sans jamais risquer de lasser. Le Barbier de Séville commence dès ses premières scènes par un chœur endiablé. C'est Lawrence Brownlee qui chante ici le Comte Almaviva dans la mise en scène de Michieletto.
Le Comte Almaviva souhaite chanter une sérénade au pied du balcon de sa bien-aimée, Rosina. Il convie alors une troupe de musiciens pour l'accompagner. Celle-ci a le mot d'ordre suivant : rester la plus discrète possible afin de ne pas éveiller les soupçons du docteur Bartholo, tuteur de Rosina sur laquelle il veille jalousement. Une fois le travail accompli, le Comte rémunère les musiciens généreusement. Ceux-ci ne peuvent alors s'empêcher de le remercier bruyamment...
Retrouvez Lawrence Brownlee dans le Barbier de Séville mis en scène par Michieletto à l'Opéra de Paris