Agathe, chasse gardée
Ôlyrix fait son top 10 des chœurs d'opéra. Le Freischütz prend la neuvième place. Œuvre fondatrice du genre opératique allemand, qui inspirera ensuite Wagner, le Freischütz de Weber contient un magnifique chœur de chasseurs.
Restez les premiers informés.
Activez les notifications pour nos articles sur l'opéra
Ôlyrix fait son top 10 des chœurs d'opéra. Le Freischütz prend la neuvième place. Œuvre fondatrice du genre opératique allemand, qui inspirera ensuite Wagner, le Freischütz de Weber contient un magnifique chœur de chasseurs.
Ôlyrix fait son top 10 des chœurs d'opéra. Nous retrouvons à la dixième place Cavalliera Rusticana, chef d'oeuvre du vériste Mascagni, qui s'ouvre sur un chœur d'une grande subtilité et d'une grande poésie.
En cette période de brevet des collèges, Ôlyrix vous fait découvrir un opéra composé par Mozart lorsqu'il avait 14 ans, l'âge d'en finir avec le collège. Cela vaut bien une mention !
Parmi les nombreux chefs-d'oeuvre de Rossini, L'Italienne figure en bonne place : livret prévoyant un enchaînement incessant de gags et musique enlevée sont les recettes du maître de l'opéra-bouffe.
Avant-dernier opéra de Verdi, Otello est aussi l'un des plus sombre. Le duo d'amour du premier acte entre Otello et sa femme Desdemona est unique de par sa subtilité et sa longueur.
L'Air du jour vous propose aujourd'hui une plongée dans l'univers wagnérien. Considéré par certains comme difficile d'accès, nous vous prouvons aujourd'hui qu'il n'en est rien !
Dans Norma, Bellini nous gratifie de nombreux duos entre le rôle-titre et Adalgisa. Tous sont somptueux. Celui-ci, qui prend place à l'acte II, ne fait aucunement exception !
De Gershwin à Legrand, la comédie musicale s'est faite le prolongement de l'opéra. S'autonomisant et créant ses propres règles et canons, elle est pourtant aujourd'hui devenue un genre à part entière.
Platée de Rameau est l'une des œuvres les plus loufoques du répertoire. Son humour, qui transparaît tant dans le fond que dans la forme, est particulièrement mis en valeur par la mise en scène de Laurent Pelly
Perséphone de Stravinsky retrace le mythe expliquant l'alternance des saisons :